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Le TOP 10 des aliments qui font le plus grossir

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aliments-qui-font-grossirQuand on veut garder la ligne, mieux vaut éviter les bombes caloriques ambulantes qui vous font prendre 5 kilos simplement en les regardant.

Mais il n’est pas toujours simple de savoir les repérer, car le milieu de la nutrition fourmille d’idées reçues.

Pour vous aider à y voir plus clair, voici le top 10 des aliments qui font le plus grossir, à éviter absolument ! Qui sont les pires ennemis de votre ligne ?

Pour garder la ligne, il est important de savoir ce que l’on met sans son assiette. Il n’est pas toujours facile de faire le tri entre réalité et idées reçues.

La pomme de terre, par exemple, traîne une réputation d’aliment qui fait grossir alors qu’il n’en n’est rien. C’est une excellente alliée pour vos repas, à condition de la consommer bouillie, ou cuite à la vapeur.

Au contraire, d’autres aliments qui peuvent sembler innocents sont des ennemis mortels pour votre tour de taille. Dans ce top 10, nous les avons classés par ordre croissant de propension à vous faire prendre du poids.

Ce classement ne se base pas seulement sur leur apport calorique, mais aussi sur leur absence d’intérêt nutritionnel, la taille des portions généralement consommées et leur composition.

1- Les sauces riches

Mayonnaise, béarnaise, algérienne, ou barbecue, les sauces tiennent une place non-négligeable dans nos assiettes. Elles relèvent à merveille le goût des plats…et leur apport calorique. En effet, une portion de sauce peut facilement avoisiner les 100 calories en fonction de sa composition.

En plus de peser d’enrichir votre repas, elles ont tendance à apporter des nutriments loin d’être bons pour votre santé. Les sauces à base d’œuf, de crème, ou de beurre sont pleines de graisses saturées. Ce sont elles qui sont à l’origine du mauvais cholestérol et encrassent vos artères.

Dans cette catégorie, on peut citer : la mayonnaise, la sauce moutarde, la sauce béarnaise, la sauce samouraï, la sauce au beurre, ou encore la sauce ranch. La liste n’est pas exhaustive.

D’autres contiennent une dose de sucre bien trop élevée. Un travers qui concerne les préparations relevées avec du sucre, ou du miel. Le ketchup, la sauce barbecue et de nombreuses sauces sucré/salé entrent dans cette catégorie. Limitez donc au maximum l’usage de ces condiments sur vos plats et cuisinez-les au lieu d’acheter leur version industrielle.

2- Les boissons alcoolisées

En plus de rendre inapte à la conduite, de faire vomir et de donner mal au crâne les lendemains de soirée l’alcool est un aliment qui fait grossir vitesse grand V. Si un demi de bière ou un ballon de vin vous semblent bien innocents, sachez qu’ils tournent tout de même autour de 150 calories.

Imaginons que vous passiez une soirée avec vos amis. Vous prenez une bière en apéritif. À table, vous accompagnez le repas de 2 verres de vin. Et pour finir, vous vous laissez tenter par un digestif. Sans avaler un seul aliment solide, vous avez englouti au moins 600 calories.

De plus, l’alcool ne contient aucun nutriment utile pour le corps. C’est un pur concentré de sucre et rien d’autre. C’est ce que l’on appelle une source de calories vides. Pire, un petit verre a tendance à ouvrir l’appétit. Un repas arrosé est un repas où l’on mange plus que de raison, ce qui alourdit encore la note. Moralité : boire ou mincir, il faut choisir !

3- Le fromage

À l’apéritif, dans un sandwich, sur des pattes en fin de repas, ou encore pour accompagner un verre de vin : le fromage s’invite partout dans nos repas. Rares sont ceux qui n’en consomment pas plusieurs fois par semaine, quand ce n’est pas plusieurs fois par jour.

Le problème, c’est que ce n’est pas l’aliment le plus diététique qui soit. Très riche en calories, il l’est aussi en graisses saturées dont nous avons déjà décrit les méfaits pour le système cardiovasculaire plus haut.

La plupart des fromages que nous consommons sont industriels. Ils sont donc faits à base d’ingrédients de piètre qualité, ce qui appauvrit encore leur profil nutritionnel. Ils sont souvent associés à d’autres aliments qui font grossir et renforcent l’appétence de ces derniers. Une tranche de fromage fondant sur un steak, ou le combo fromage et vin en sont une illustration parfaite.

Méfiez-vous des fromages dits allégés ! En plus de n’avoir aucun goût et d’être industriels ils ne sont pas beaucoup moins chargés en mauvaise graisse que leurs équivalents classiques. Et la mention light incite inconsciemment à manger des portions plus grandes. Une fausse bonne idée pour rester mince, en somme.

4- La viande rouge

Souvent associée à la force et à la bonne santé dans l’imaginaire collectif, la viande rouge est un aliment qui fait grossir auquel on ne pense pas forcément. Si tous les morceaux n’ont pas la même valeur, la moyenne tourne tout de même autour de 300 calories pour 100 g, ce qui est déjà conséquent.

D’autant que cette viande a un taux élevé de mauvais lipides. Sa consommation régulière est déconseillée par les cardiologues et peut amener à développer diverses pathologies telles que le cholestérol, l’hypertension artérielle, la goutte, ou les calculs rénaux.

Souvent grillée ou cuisinée en sauce, son mode de préparation fait encore grimper sa capacité à venir augmenter votre tour de taille. Des plats comme le hamburger, la fondue bourguignonne, ou le bœuf au fromage l’associent à d’autres aliments trop riches pour la santé.

Si elle est souvent consommée dans l’espoir de renforcer les muscles, ce n’est pourtant pas celle qui apporte le plus de protéines. Pour garder un tour de taille acceptable, il est donc vivement conseillé de la retirer de vos menus.

5- Les crèmes glacées

Bienvenues lors des chaudes journées d’été, ou devant une série que l’on regarde, pelotonné sous la couette, les crèmes glacées sont un plaisir réconfortant à souhait. Malheureusement, il s’agit aussi d’un aliment qui fait grossir lorsqu’il est consommé trop souvent.

Le problème le plus évident vient de la quantité de sucre qu’elles contiennent. Si une simple glace à la vaille en contient déjà plus que de raison, l’addition s’alourdit encore quand on se tourne vers des parfums plus originaux. Les crèmes glacées aux brownies, aux cookies, ou au caramel peuvent rapidement faire exploser les compteurs.

L’autre point noir de ce dessert est qu’il contient du lait et de la crème. On a donc une source de mauvais lipides en plus d’une charge glycémique élevée. Plus un dessert glacé est élaboré, plus il cumule les points négatifs qui font prendre du poids.

Une seule barre chocolatée glacée de 50 g peut facilement dépasser 150 calories à elle seule. Même s’ils contiennent du sucre, les sorbets restent un meilleur choix si vous tenez absolument à manger de la glace.

6- La charcuterie

Nous voici arrivés à la seconde moitié de ce top 10 avec un aliment qui fait grossir même à petite dose : la charcuterie. Ce petit plaisir coupable s’invite à table en apéritif, en entrée, ou en plat, sans que nous en mesurions forcément le potentiel néfaste.

Produit transformé par excellence, la charcuterie est une bombe calorique à cause de sa teneur très élevée en mauvaises graisses. Et pour cause, toutes les spécialités charcutières intègrent des morceaux de gras de l’animal dans leur composition. C’est en partie ce qui leur donne un goût si savoureux.

Autre point noir de la charcuterie : elle contient énormément de sel. En plus d’être mauvais pour la santé, sa consommation favorise la rétention d’eau qui entraîne l’apparition de cellulite. Dépourvue de nutriments intéressants pour l’organisme, elle n’a rien à vous apporter, si ce n’est une taille de pantalon en plus.

7- Les céréales du petit-déjeuner

Plaisir du matin, les céréales font partie des produits devenus quasiment incontournables sur la table du petit-déjeuner. Les industriels rivalisent d’imagination pour les présenter comme un produit sain pour les enfants, comme pour les plus grands. Certains vont même jusqu’à commercialiser des gammes spéciale minceur.

Pourtant, les céréales du petit-déjeuner n’ont absolument rien de diététique. Le secret de leur goût attrayant, limite addictif, réside dans leur teneur en sucre incroyablement élevée. Pour certains produits, elle atteint tout de même 80 %. Ce qui signifie que pour 100 g de céréales, vous ingérez 80 g de sucre.

Pour bien commencer la journée, mieux vaut renoncer à cet aliment qui fait grossir source de calories vide par excellence. En consommer régulièrement fera prendre quelques centimètres à votre tour de taille et vous rendre diabétique. Remplacez-le plutôt par un muesli fait maison et sans sucre ajouté.

8- La friture

Nuggets, frites, cordons bleus, fallafels, beignets salés et sucrés, tout le monde, ou presque, aime la friture. Ce mode de cuisson rend les aliments particulièrement savoureux et leur donne un côté croustillant incomparable. Malheureusement, c’est l’une des pires options pour votre ligne.

Pour être clair, un aliment frit est un aliment qui fait grossir. C’est aussi simple que cela. La raison est simple. Au moment où la nourriture sort de son bain d’huile, elle absorbe toute la graisse dont elle est recouverte. Et il y en a bien plus qu’on pourrait le penser.

Cet apport de mauvaise graisse au travers de l’huile fait grimper le nombre de calories ingéré au point de le faire doubler. Même un innocent morceau de chou-fleur peut se transformer en véritable bombe calorique si vous en faites un beignet. Pour garder la ligne, mieux vaut donc éviter de manger frit au quotidien, même si vous accompagnez le plat d’une salade.

9- Le nougat

Voilà une gourmandise venue du sud de la France que l’on a tendance à penser saine alors qu’il n’en n’est rien. Si elle est faite à base d’amandes, qui sont des oléagineux très bons pour la santé, elle contient aussi énormément de sucre. On y trouve du miel, du sucre et du blanc d’œuf. Pas vraiment la recette d’une friandise légère.

Nougat blanc ou nougat noir, même combat. C’est un aliment qui fait grossir et pas qu’un peu, puisqu’il arrive tout de même aux alentours de 450 calories pour 100 g. Mieux vaut donc avoir la main légère et ne céder à la tentation qu’une ou deux fois par an, au moment de Noël, par exemple. Méfiez-vous du nougat bio, ce n’est pas parce qu’il est fait à base de miel et d’amandes, cultivés sans pesticides qu’il est plus sain.

10- Le chocolat blanc

À la dernière place de ce top 10 des aliments qui font le plus grossir nous retrouvons un plaisir d’enfance largement popularisé par une célèbre marque qui met un dauphin à l’honneur. Le chocolat blanc est une bombe calorique et glycémique par excellence.

Composé de graisse et de sucre, le chocolat blanc n’a d’ailleurs de chocolat que le nom. Pour masquer son côté écœurant, les industriels imaginent toute sorte de tablettes aromatisées : crème de fraise, noix de coco, éclats de caramel, etc.

Autant d’assaisonnements qui font encore grimper le nombre de calories pour chaque carré ingéré. Vous aimez le chocolat ? Pour votre palet, comme pour votre ligne, mettez-vous au noir à 70 % de cacao, avec modération. Cela vous évitera de manger du sucre mélangé à des matières grasses de mauvaise qualité.

Si vous tenez à votre ligne et que vous voulez rester en bonne santé longtemps, évitez de consommer les aliments qui font grossir cités dans ce top 10. En plus d’un apport calorique très élevé, ils sont contiennent énormément de sucre et de mauvaises graisses.

Faites en sorte de privilégier des alternatives plus saines. Si certains de ces produits font partie de vos plaisirs favoris, mieux vaut les réserver pour des occasions exceptionnelles et vous abstenir le reste du temps. Vous ne les apprécierez que mieux !

Ces 5 aliments DETRUISENT ta testostérone !

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aliments-qui-détruit-la-testostéroneTu le sais sans doute : la testostérone est une hormone particulièrement importante pour les hommes.

Elle joue un rôle clé dans l’accroissement de la masse musculaire, le niveau d’énergie, ou encore la libido. Mieux vaut donc soigner sa production.

Ce que tu sais peut-être moins, c’est l’importance de ne pas mettre n’importe quoi dans ton assiette pour éviter d’avoir un taux en chute libre.

Découvre tout de suite ces 5 aliments qui DETRUISENT ta testostérone !

Pour sauver ta testostérone surveille ton alimentation !

C’est un fait qui n’est plus à démontrer depuis longtemps : la santé passe avant tout par l’assiette. On connaît le pouvoir protecteur de certains aliments contre les maladies, tandis que d’autres sont identifiés comme nocifs. Mais quand on parle diététique, l’équilibre hormonal se trouve rarement au menu. Pourtant, ce que tu manges a aussi un impact sur la production de ces substances vitales.

La testostérone en est un excellent exemple. Certains aliments détruisent ta testostérone sans que tu ne t’en rendes compte. C’est un mécanisme d’autant plus pernicieux qu’ils sont consommés de façon courante et font partie de nos routines alimentaires. Grâce à cet article, tu vas pouvoir les identifier et les bannir de ton alimentation.

Pour sauver tes performances à la salle de sport et au lit, tu trouveras aussi des alternatives plus saines et des suggestions pour booster ta testo.

À quoi sert la testostérone ?

Avant de se pencher sur les aliments qui détruisent ta testostérone, un petit rappel concernant cette hormone s’impose. Si elle est présente chez tous les êtres humains, elle est sécrétée dans des proportions bien supérieures chez les hommes. C’est elle qui est à l’origine de ta voix grave, de tes poils, ou encore de la disposition de ta masse musculaire. Hormone de la libido par excellence, elle influe aussi sur ton désir et ta performance, ainsi que sur la qualité de ton sperme.

Mais ce n’est pas tout ! Elle agit aussi sur l’humeur, la résistance au stress et la capacité d’action. Si ton taux est élevé, tu auras plus de facilité à être actif et à t’imposer. C’est donc une substance précieuse dont il serait vraiment dommage de contrarier la production !

Chez les mecs, la testostérone est sécrétée par deux organes à la fois. Les testicules, bien sûr, mais aussi les glandes surrénales. Comme pour toutes les hormones, sa sécrétion peut être perturbée par la présence de certaines substances dans le sang. Elles vont agir comme des antagonistes, ou contrarier la production.

Les signes que ta testostérone est en baisse

Lorsque ta production de testostérone baisse, tu ne le ressens pas immédiatement. Mais, plus ton taux devient bas, plus les signes de cette baisse vont se manifester. Voici les principaux signes qui peuvent t’alerter. Il va de soi qu’une consultation chez le médecin s’impose tout de même avant de tirer des conclusions hâtives. Tu pourras vérifier avec son aide que le problème n’est pas autre, car ces symptômes ne sont pas spécifiques.

Une libido en berne

Si ta libido est moins importante que d’habitude, ou que ton endurance diminue, il est possible que ta testo soit en baisse. Surtout si aucun facteur psychologique (stress, conflit dans le couple, rancœur, dépression, etc.) ne peut expliquer cette situation. Pour garder un désir intact, il est important d’éviter tout aliment qui détruit ta testostérone.

Un manque d’énergie chronique

Si tu es souvent fatigué sans cause apparente, c’est peut-être que ta testostérone n’est pas au beau fixe. Cette hormone fait partie de celles qui sont responsables de ton niveau d’énergie. Si un bilan médical classique ne permet pas de mettre le doigt sur l’origine du problème, il est temps de repenser le contenu de ton assiette pour bannir tout aliment qui détruit ta testostérone.

Une tendance à la passivité

Si tu es du genre courageux et actif et que tu as soudainement du mal à passer à l’action ton taux de testostérone est peut-être en train de chuter. Les leaders tirent en grande partie leur facilité à s’imposer de la capacité de leurs hormones à produire de la testostérone en masse. À contrario, les hommes au caractère soumis qui ont du mal à s’imposer en manquent cruellement.

Ces 5 aliments qui DETRUISENT ta testostérone !

Voici la liste des aliments à ne plus jamais manger si tu veux protéger ta testostérone et ta virilité !

1- Le soda

Non seulement le soda est loin d’être essentiel à l’alimentation, mais il est impliqué dans de nombreux problèmes de santé, tels que le diabète, ou l’obésité. Ce que l’on sait moins, c’est que c’est aussi un aliment qui détruit ta testostérone. Penses-y la prochaine fois que tu auras envie de t’en servir un verre !

Pourquoi cet aliment détruit ta testostérone ?

La raison pour laquelle le soda est un aliment qui détruit ta testostérone, c’est le taux de sucre hallucinant qu’il contient. Glycémie élevée et production d’hormones virile ne font pas bon ménage.

Par quoi le remplacer ?

Heureusement, il existe de nombreuses alternatives saines pour remplacer le soda. La première, bien entendu, c’est l’eau ! Si son goût est bien moins agréable, c’est la seule boisson qui fasse réellement du bien à ton corps. Il est d’ailleurs recommandé d’en boire 2 litres par jour pour être en bonne santé.

Pour les occasions où les boissons plaisirs sont les bienvenues, tu peux te tourner vers les jus de fruits. À condition qu’il s’agisse de purs jus de fruits sans sucre ajouté. Les nectars et autres jus à base de concentré sont aussi mauvais que les sodas pour ton organisme. Pour préserver ta testostérone le jus de grenade est un excellent choix, nous en reparlerons plus bas.

2- La friture

Qu’ils soient sucrés ou salés, les aliments frits se sont fait une place de choix à notre table. Frites, chips, beignets, aliments panés, ou encore bacon, autant de petits plaisirs qui font partie de nos routines modernes. Pourtant, si tu veux éviter de détruire ta testostérone tu ferais mieux d’arrêter d’en manger dès aujourd’hui !

Pourquoi cet aliment détruit ta testostérone ?

Il n’y a pas que le sucre qui assassine littéralement ta testostérone. Les graisses saturées ont exactement le même effet. Malheureusement, les aliments frits en sont remplis. Chaque fois que tu manges des chips, un beignet, ou des frites, tu encrasses tes artères et tu empêches ton corps de produire suffisamment de testostérone pour maintenir ta virilité au beau fixe.

Par quoi la remplacer ?

Le mode de cuisson qui préserve le mieux les nutriments des aliments, c’est la vapeur. Des pommes de terre à l’autocuiseur ne sont pas aussi appétissantes que des frites bien grasses, nous sommes d’accord sur ce point. En revanche, elles t’aideront à sauver ta testo. Une bonne raison de faire quelques efforts. En prime, tu devrais perdre quelques kilos en retirant la friture de ton alimentation, ce qui ne te rendra que plus sexy !

3- Les produits laitiers

« Les produits laitiers sont nos amis pour la vie ! » disait une célèbre campagne publicitaire. Le problème, c’est que la recherche scientifique montre que ce n’est pas vrai. Le fromage est un aliment qui détruit ta testostérone, repas après repas.

Pourquoi cet aliment détruit ta testostérone ?

Si les produits laitiers ne sont pas les meilleurs amis de ta virilité, c’est pour deux raisons. La première, c’est que le lait contient des substances qui ont tendance à faire baisser la production endocrine. La seconde, c’est que ce lait provient le plus souvent d’animaux d’élevage intensif qui sont gavés d’antibiotiques et d’hormones tout au long de leur, courte, vie. Autant de perturbateurs endocriniens que tu absorbes à chaque fois que tu ingurgites une tranche de fromage, ou un verre de lait.

Par quoi les remplacer ?

Il existe aujourd’hui de nombreuses alternatives végétales au fromage. Certaines sont à base de noix de cajou fermentée. Ce sont celles qui sont les plus intéressantes, car cet oléagineux est excellent pour stimuler ton taux de testostérone, nous en reparlerons dans quelques lignes.

4- La réglisse

Pour la plupart d’entre nous, la réglisse a le bon goût des souvenirs d’enfance. Celui des bonbons dans la cour de récré partagés avec les copains. Que ce soit dans les confiseries, dans les glaces, ou en infusion, c’est un parfum très populaire que beaucoup d’hommes apprécient. Hélas, si ton palet raffole de cette petite racine noire, ta testostérone est loin d’être de cet avis !

Pourquoi cet aliment détruit ta testostérone ?

Le principe actif de la réglisse possède une propriété néfaste pour les hommes. Il est capable d’inhiber les androgènes qui sont des précurseurs de la testostérone. Autrement dit, il empêche les sécrétions produites par les glandes surrénales et les testicules de devenir de la testostérone. Tu dois donc éviter absolument d’en consommer si tu veux garder un taux d’hormones digne de ce nom.

Par quoi la remplacer ?

La réglisse est principalement un aliment plaisir. À ce titre, il n’est pas indispensable de la remplacer, d’autant que les sucreries sont à limiter pour sauvegarder ta production d’hormones. Si tu cherches absolument un substitut, le goût du café est sans doute celui qui s’en approche le plus. En revanche, évite la menthe qui nuit aussi à la libido.

5- La bière

Star incontestée des apéritifs, la bière est une boisson qui symbolise la virilité par excellence. Que ce soit lors des soirées entre amis, des événements sportifs, ou pour fêter une victoire, rares sont les hommes qui n’en consomment pas. Pourtant, c’est u aliment qui détruit ta testostérone et assassine ta virilité ! Après avoir lu ce qui va suivre, tu verras sûrement ta pinte du vendredi soir d’un autre œil.

Pourquoi cet aliment détruit ta testostérone ?

L’ennemi de ta testostérone dans la bière, c’est le houblon. Il sécrète des substances qui mettent ton organisme au repos sur ce point, ce qui peut faire rapidement chuter ton taux. Autre désavantage, la bière contient énormément de sucre. Un inconvénient de taille quand on sait qu’une glycémie élevée ne favorise pas la production de testo.

Par quoi la remplacer ?

Pour remplacer la bière, le mieux est d’opter pour une boisson sans alcool. Car, même s’il existe de nombreux alcools qui ne contiennent pas de houblon, le problème du taux de sucre élevé est récurrent pour ce type de boisson. Si au détour d’un verre un mec avec une bière à la main te fait la réflexion que ton jus de fruits ne fait pas très viril, dis-toi que tu as un taux d’hormones mâles sûrement plus élevé que le sien !

Quels aliments privilégier pour booster ta testostérone ?

Heureusement, tous les aliments ne veulent pas la peau de ta testo. Il existe de nombreux produits que tu peux consommer quotidiennement pour la booster. Cerise sur le gâteau : ils sont simples à trouver et à intégrer à tes menus.

Un peu plus haut, nous avons parlé du jus de grande. Une étude scientifique a montré une augmentation significative du taux de testostérone des hommes qui en consommaient un verre chaque jour. Pour que cela fonctionne, tu dois acheter du pur jus de grenade, attention au concentré, ou aux jus de fruits rouges qui vantent la présence de grande sur l’emballage, mais qui sont majoritairement composés du jus de raisin.

Au moment de l’apéritif, au lieu de grignoter des produits trop gras et trop salés, opte pour des noix de cajou. Elles contiennent du zinc et des vitamines qui stimulent la production de testostérone. En plus, elles contiennent des bons lipides qui participent à la régulation du métabolisme.

En entrée, rien de tel qu’un bon avocat pour préserver ta virilité. Ce fruit contient des acides gras et des vitamines bénéfiques pour la production d’hormones masculines. Une propriété que partagent aussi le pain de seigle et l’avoine que tu peux mettre au menu aussi souvent que possible.

Pour assaisonner tes plats, et ta libido, mise sur l’ail, le thym, le cumin, ou encore la coriandre. Ces épices sont de véritables concentrés de nutriments qui stimulent la production de testostérone. À utiliser sans modération pour retrouver ta vigueur !

Si tu bannis ces 5 aliments qui détruisent ta testostérone de ton alimentation et que tu les remplaces par des alternatives plus favorables, tu verras ton taux remonter. Plus tu avances en âge, moins il est simple de maintenir un taux de testo élevé. Autant dire qu’il est primordial de ne pas négliger la diététique pour y parvenir. Tu te sentiras mieux et la femme qui partage ta vie verre, elle aussi, la différence !

L’enfer des hauts potentiels : le décalage par rapport aux autres

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l'enfer-des-hauts-potentielsSurdoués, zèbres, et même parfois génies, les mots pour qualifier ceux qui ont un QI hors normes ne manquent pas.

On imagine souvent les élus dotés d’une intelligence supérieure à la moyenne heureux et bénissant ce don du ciel qui les démarque de la masse.

Pourtant, être HPI peut être une véritable souffrance quand cette différence isole. L’enfer des hauts potentiels porte un nom : le décalage par rapport aux autres.

Qu’est-ce qu’un haut potentiel intellectuel ?

La notion de haut potentiel intellectuel est souvent utilisée bien trop largement, y compris pour qualifier des gens qui ne rentrent pas réellement dans cette catégorie. Est considéré comme tel tout individu qui possède un quotient intellectuel égal ou supérieur à 130. Cette situation concerne seulement 3 % de la population mondiale, selon l’estimation la plus large.

Oubliez les tests gratuits en ligne qui ont trop souvent tendance à gratifier ceux qui les font d’un QI digne d’Einstein. La seule manière de savoir si vous entrez vraiment dans cette catégorie est de passer un test auprès d’un psychologue agréé. Certaines associations qui regroupent des HPI proposent aussi des sessions de tests pour mesurer l’intelligence des postulants.

Contrairement à ce que la fiction laisse entendre, le surdoué brillant dans tous les domaines et capable de calculer de tête plus rapidement que le dernier ordinateur sorti sur le marché est un mythe. Les hauts potentiels ont un fonctionnement cérébral plus performant que celui des autres, mais leur potentiel s’exprime souvent dans un domaine précis, parfois plusieurs, mais jamais dans toutes les matières.

De même, cette facilité à apprendre ne les rend pas pour autant détenteurs de la science infuse. Ils doivent tout de même travailler pour tirer profit de leur intellect.

Être haut potentiel : un don et une malédiction

Qui n’a jamais rêvé de posséder une intelligence hors normes ? Personne, sans doute. Pourtant, pour de nombreux HPI, la situation tient plus du cauchemar que du conte de fées. En effet, les capacités cognitives des zèbres ne sont pas les seules à être particulières. C’est l’ensemble de leur manière de penser et de leur vision du monde qui est à contre-courant de la majorité.

Dans une société qui prône l’uniformité et où on essaie de nous couler dans un moule depuis notre plus jeune âge, il peut être extrêmement frustrant de ne pas parvenir à y entrer. D’autant que la société est là pour souligner cette anormalité, sous la forme des remarques et de la désapprobation des autres. La vie d’un HPI peut rapidement devenir très compliquée, en particulier durant l’enfance et l’adolescence, qui sont des périodes de la vie durant lesquelles nous sommes particulièrement fragiles.

Grâce à cet article, vous allez comprendre pourquoi le décalage avec les autres peut devenir un véritable enfer des hauts potentiels.

L’enfer des hauts potentiels : le décalage par rapport aux autres

Les sources de décalages entre les HPI et le reste des gens sont nombreuses. Voici les principaux domaines de fracture qui conduisent les zèbres à se retrouver isolés et en souffrance.

Un décalage de compréhension

L’enfer des hauts potentiels commence souvent dès le plus jeune âge avec un décalage de compréhension flagrant entre eux et les autres enfants. Quand les gamins de leur âge savent à peine parler correctement, ils utilisent déjà des tournures de phrases qui n’ont rien à envier à celles des adultes. En classe, ils ont l’impression de s’ennuyer et s’agacent du fait que leurs camarades mettent du temps à intégrer ce qui leur paraît être des évidences.

Un ennui qui se traduit souvent par de l’indiscipline et qui leur vaut de nombreux problèmes avec le système scolaire traditionnel. Comme de nombreuses institutions, l’école n’est, malheureusement, pas adaptée aux gens différents, encore moins lorsque ceux-ci sont plus brillants que la moyenne.

Pour tenter de compenser ce décalage, les enfants zèbres recherchent souvent la compagnie des adultes avec qui ils ont des échanges plus intéressants. Le problème, c’est que ces derniers n’ont pas du tout envie de discuter avec ceux qu’ils considèrent comme de simples gamins.

Ils les renvoient jouer avec les jeunes de leur âge. Mais leurs camarades aussi rejettent souvent les HPI, car ils les trouvent ennuyeux et sont dépassés par leur avance. Au final, les hauts potentiels se retrouvent souvent mis à l’écart durant une grande partie de leur vie.

Une sensibilité parfois à fleur de peau

Une autre composant de l’enfer des hauts potentiels, c’est le décalage de sensibilité. Même si ce n’est pas une constante, une part non-négligeable des personnes HPI est hypersensible. Ce qui fait un problème supplémentaire à gérer. Les hypersensibles vivent tout plus fort que les autres et prennent la moindre critique, le moindre mot désobligeant à cœur. Ils ont donc tendance à surréagir, ce qui ne les aide pas à s’intégrer, ni à se faire des amis.

Même chez les zèbres qui n’ont pas une sensibilité plus forte que la moyenne, il existe tout de même un décalage de maturité assez criant qui rend la communication avec les personnes de leur âge difficile. Là où leur entourage vit au jour, le jour, les hauts potentiels vont, par exemple, avoir tendance à se projeter dans le futur.

Ce qui peut déboucher sur un véritable dialogue de sourds entre un jeune lambda qui se préoccupe de s’amuser pour profiter de la vie et un jeune zèbre qui sait que c’est précisément avant 25 ans que se prennent les décisions les plus importantes pour notre avenir.

La pensée en arborescence, une particularité des HPI

Les hauts potentiels ont un cerveau à part, qui est loin de fonctionner comme celui de tout le monde. La manifestation la plus visible de ce décalage, c’est ce que l’on appelle la pensée en arborescence. La majorité des gens pensent de façon linéaire. Une idée en entraîne une autre qui est la suite logique de la première. Il est facile de retracer le fil de la conversation, puisqu’il suffit d’en dérouler le fil.

Chez les hauts potentiels, en revanche, les choses ne se passent pas de cette manière. Leur esprit fonctionne avec un système de répertoire composé de différentes cases, exactement comme sont organisés les dossiers d’un ordinateur.

Leur esprit saute de dossier en dossier, en fonction des sollicitations. S’ils sont en train de parler d’un sujet précis et entendent tout à coup un mot qui leur évoque un souvenir, ou autre chose, les hauts potentiels vont s’écarter de la discussion initiale pour développer cette nouvelle idée, jusqu’à ce qu’il soit de nouveau dérouté, et ainsi de suite.

À la fin de l’échange, il est souvent impossible de ce souvenir d’où il est exactement parti tant les sursauts intellectuels sont nombreux. Loin d’être un signe d’inconstance, c’est au contraire le signe que leur cerveau peut traiter de manière assez fine un grand nombre d’informations à la fois pour les organiser.

Une vision globale du monde qui peut surprendre

La manière dont les personnes au potentiel moyen conçoivent la vie est aussi l’enfer des hauts potentiels, tant elle est en décalage avec la leur. En effet, la plupart des gens ne voient que l’effet immédiat de leurs actions. Par exemple, s’ils jettent un papier par terre, ils vont penser au fait qu’un employé municipal est payé pour nettoyer les rues et va le retirer.

Un haut potentiel intellectuel, lui, ne voit pas les choses du même œil. Il va plutôt se projeter et prendre de la hauteur pour mieux analyser l’impact de chaque chose. Si on reprend l’exemple du papier, notre HPI va commencer par se demander de quoi est fait ce papier et s’il est vraiment recyclable.

Il va faire en sorte de bien le jeter dans le bon bac. Puis, il va imaginer ce qui se passerait si tout le monde faisait comme la personne avant lui. Alors même que le visiteur a fini par ramasser son papier pour le mettre à la poubelle, l’intello continue de projeter des scénarios catastrophe.

Un HPI agit ainsi, car il voit bien au-delà des apparences. Il va se dire que si tout le monde agit avec la même inconséquence le monde ne serait plus vivable et imaginer une planète croulant sous les détritus. Une vision qu’il tente désespérément de faire partager aux autres. Malheureusement, ceux-ci sont souvent incapables de le comprendre et le traitent de rabat-joie, ou d’hurluberlu.

Vie intime et haut potentiel : une équation parfois difficile

Le décalage qui peut exister dans la vie intime entre les HPI et les autres est un sujet peut aborder. Pourtant certaines situations peuvent être source de réels problèmes pour les hauts potentiels et compliquer leurs relations aux autres. Une intelligence supérieure à la moyenne se caractérise par un esprit en perpétuel mouvement qui analyse en permanence tout ce qui l’entoure, comme le ferait un radar géant.

Cette attitude est peu propice au relâchement et à la détente, si bien que les zèbres ont tendance à habiter davantage leur tête que leur corps. Pourtant, s’il est un domaine où il est indispensable de savoir déconnecter la machine et de se laisser aller pour vivre pleinement les sensations physiques, c’est bien celui des rapports intimes.

De nombreux hauts potentiels ne sont pas à l’aise dans cette situation et ont du mal à s’abandonner. Paradoxalement, ne penser à rien leur demande un grand effort de concentration qui peut être mis à mal par un élément extérieur comme un bruit, ou une odeur qui va les entraîner dans de nouvelles réflexions.

Cette difficulté à réagir comme les autres sous la couette est souvent source de frustration aussi bien pour eux que pour leur partenaire, qui prend ce comportement pour un manque d’attention, ou d’amour. Il existe un véritable risque de repli sur soi et d’isolement si la communication n’arrive pas à s’établir et que l’autre ne fait pas un réel effort pour comprendre la véritable cause du problème.

Si ce phénomène ne concerne pas la totalité des zèbres, cette source de décalage peu connue, qui ajoute à l’enfer des hauts potentiels, mérite tout de même d’être mentionnée.

Comment s’épanouir avec un haut potentiel ?

Bien que le décalage avec les autres soit réellement difficile à vivre pour les 3 % de la population qui possèdent un QI dépassant les 130, il est heureusement possible d’être un haut potentiel intellectuel épanoui et heureux.

La première condition pour cela, c’est de voir sa différence comme une force et pas comme une malédiction. Car, même si elle est loin de leur rendre la vie facile, l’intelligence des HPI leur permet d’accomplir des choses qui peuvent faire avancer le monde de façon positive. Il leur suffit de la mettre au service de quelque chose qui a du sens pour eux.

Faciliter les relations avec les autres demandes d’être capable d’expliquer les raisons de ce fameux décalage et de communiquer largement. Il faut aussi faire le tri pour écarter les personnes toxiques et se concentrer sur celles qui sont bienveillantes. Certains zèbres se sentent plus à l’aise avec des gens qui leur ressemblent. Il existe des écoles du type Montessori, qui sont spécialisées dans la prise en charge de ces enfants particuliers.

Une vigilance s’impose toutefois, car de nombreux mouvements sectaires utilisent la prise en charge des personnes douées comme couverture. Pour les adultes, il existe des associations réservées au plus de 130 qui permettent de rencontrer d’autres zèbres. Une démarche salutaire, à condition de ne pas se fermer au monde extérieur pour autant.

Même si leur intelligence peut sembler être une bénédiction, l’enfer des hauts potentiels est une réalité. Il prend sa source dans le décalage par rapport aux autres qui se fait sentir dès le plus jeune âge. Que ce soit dans la manière de penser, d’appréhender les émotions, ou de voir la vie, les zèbres ne font rien comme les autres, ce qui peut poser problème dans un monde où le culte de la normalité est une réalité.

Pour s’épanouir pleinement, il leur faut accepter leur potentiel hors norme, avec ses avantages et ses inconvénients et l’investir dans quelque chose qui fait sens. Si vous êtes HPI, rapprochez-vous de gens qui vivent la même chose que vous. Si vous en connaissez, traitez-les avec bienveillance, vous avez des choses à apprendre d’eux !

Comment reprogrammer son cerveau en 7 étapes simples

par Laisser un commentaire

reprogrammer-son-cerveauNotre cerveau contrôle nos pensées, qui influent sur nos émotions et nos actions.

Hélas, il nous joue parfois des tours quand nous sommes imprégnées par certaines croyances néfastes.

Il suffit pourtant de quelques ajustements pour mettre fin a cette situation.

Alors, comment reprogrammer son cerveau en seulement 7 étapes simples ? On vous dit tout !

Reprogrammer son cerveau : quelques conseils avant de commencer
Quelle que soit la raison pour laquelle on souhaite reprogrammer son cerveau, il est important de tenir compte d’un certain nombre d’éléments avant de se lancer dans le processus proprement dit.

Intégrer une nouvelle manière de penser et d’agir implique un certain nombre de changements au quotidien. C’est également un travail sur le long terme, qui demande de faire preuve de ténacité et de patience.

Pour conserver la motivation nécessaire, il faut avant tout identifier ses motivations profondes pour vouloir changer.

La première question à se poser est donc celle de l’origine du problème à proprement parler et des motifs qui poussent à vouloir le résoudre. Impossible en effet d’aller au bout de la démarche si l’envie ne vient pas de soi, que ce désir de changement n’est pas pleinement le nôtre.

Attention aussi à ne pas prendre le cerveau pour une machine dont on pourrait modifier à l’envie les moindres paramètres.

La méthode décrite dans cet article est très utile pour arriver à se libérer de croyances négatives, voir la vie de façon plus positive, adopter le bon mental pour se lancer dans les affaires ou augmenter sa confiance en soi. Elle ne peut, en revanche, prétendre à changer ce que vous êtes profondément, ce qui fait partie de votre identité, car vous êtes un être unique, qui n’a pas besoin d’être changé.

1-Prendre le temps d’observer ses pensées

La première étape pour reprogrammer facilement son cerveau consiste à apprivoiser son esprit en prenant le temps d’observer les pensées qui s’y forment. Durant 1 à 2 semaines, commencez donc par vous plonger dans votre monde intérieur pour observer l’activité intense dont il fourmille.

Laissez vos pensées suivre leur cours sans chercher à le contrôler et analysez-les. Pour faciliter votre travail, commencez un journal de bord sur lequel vous devrez noter les pensées qui vous marquent le plus et celles qui reviennent de manière récurrente. Concentrez-vous plus particulièrement sur celles qui ont trait à l’aspect de votre manière de voir les choses que vous souhaitez modifier.

Après quelques jours de ce travail, vous devriez déjà être capable d’identifier les pensées qui reviennent le plus souvent à votre esprit. Notez les moments auxquels elles surviennent et les situations qui semblent les déclencher. Consignez aussi les émotions que ces pensées suscitent en vous, qu’elles soient positives ou négatives.

À la fin de vos deux semaines d’observation, relisez votre journal de bord et mesurez l’évolution de ce que vous avez pu voir. Comparez également les éléments observés avec ce que vous pensiez de vous avant.

Êtes-vous surpris de la fréquence à laquelle une pensée en particulier revient ? Ou, au contraire, cela correspond-t-il à ce que vous saviez déjà ? Notez toutes les observations qui vous sembleront pertinentes, avant de passer à la seconde étape.

2-Identifier les pensées négatives ou dérangeantes

Reprogrammer son cerveau demande de bien connaître ses propres pensées, mais aussi d’être capable d’identifier rapidement les pensées négatives et handicapantes que l’on souhaite modifier. Dans votre journal, il est donc temps d’en dresser la liste précise, parmi toutes celles que vous avez pu voir germer sous votre crâne.

Une fois cette liste achevée, concentrez-vous sur ce que vous ressentez lorsque ces pensées assaillent votre esprit et sur les situations où elles se manifestent. Il s’agit ici d’identifier la cause apparente des pensées que vous souhaitez exclure de votre programmation mentale.

Décrivez tout cela le plus précisément possible en tentant de répondre aux questions suivantes :

  • dans quelle situation cette pensée survient-elle ?
  • arrive-t-elle systématiquement ou seulement dans des cas précis ? Lesquels ?
  • qu’est-ce que je ressens à ce moment là ?
  • quel est mon niveau de stress ?
  • combien de temps la pensée met-elle à disparaître ?
  • quel est mon niveau de stress lorsqu’elle disparaît ?
  • quelles sont mes émotions à ce moment là ?

Ces exercices peuvent sembler fastidieux de prime abord, voire inutiles. Pourtant, ils sont fondamentaux pour la suite. Car, pour reprogrammer son cerveau, il faut savoir ce dont on ne veut plus, exactement, comprendre pourquoi en n’en veut plus et déterminer les situations lesquelles l’événement indésirable survient.

3-Comprendre l’origine des pensées et des croyances à modifier

Une fois la cause apparente d’une pensée identifiée, il faut s’intéresser à sa cause profonde pour reprogrammer son cerveau. En clair, pour le moment vous avez identifié le schéma mental suivant : « Lorsque telle situation survient, je ressens ceci et je réagi en pensant cela ». Le but, à présent, est de compléter l’équation en comprenant pourquoi vous pensez de cette manière.

Chacune de nos réactions, chacune de nos croyances limitantes ou négatives prend sa source dans un moment de notre vécu qui nous a marqués. Il peut s’agir d’une expérience, d’une manière de réagir héritée de notre éducation ou d’une croyance dont on nous a imprégnés.

Prenez donc le temps nécessaire pour réfléchir et mettre le doigt sur l’origine profonde du problème. Notez-la avec le plus de détails possible dans votre journal. Maintenant que vous tenez la racine du problème, vous allez enfin pouvoir commencer à passer au travail de reprogrammation à proprement parler.

4-Déconstruire les croyances et les idées préconçues

En toute logique, une fois que l’on a mis au jour l’origine de ses pensées négatives et de ses croyances limitantes, il est temps de reprogrammer son cerveau avec les pensées que l’on souhaite intégrer à la place. Pour cela, il faut déconstruire ces fameuses croyances en les remplaçant par leur opposé positif.

Commencez par les rendre aux gens qui vous en ont imprégné, en reconnaissant qu’elles leur appartiennent et que vous décidez à présent seul de la façon de mener votre vie. Ensuite, cherchez un ou plusieurs contre-exemples pour chaque idée négative. Il en existe forcément et c’est la preuve qu’elles ne sont pas fondées. Enfin, définissez un opposé positif qui sera la nouvelle croyance que votre cerveau va devoir intégrer.

5-Pratiquer la pensée positive et la visualisation

La pensée positive est indispensable pour reprogrammer son cerveau. Ce sont vos pensées qui définissent vos émotions et vos actions. Pour changer votre façon de voir la vie, vous devez donc vous concentrer uniquement sur la pensée positive en contrôlant votre esprit.

Répétez autant que possible, chaque jour, les nouvelles croyances que vous avez choisi d’intégrer. Développez autour d’elles autant de pensées plaisantes que possible. Énumérez tous les avantages de la transformation intérieure que vous êtes en train d’accomplir et ressentez pleinement toutes les émotions positives qui en découlent.

Dès qu’une pensée négative s’insinue dans votre esprit, arrêtez-vous sur elle et remplacez-la immédiatement par son opposé positif. Cette gymnastique peut sembler fastidieuse, mais avec un peu de pratique elle deviendra naturelle et vous verrez les pensées déplaisantes disparaître petit à petit.

La visualisation est un excellent exercice complémentaire pour assainir vos pensées et vous concentrer sur l’image du changement que vous souhaitez obtenir.

6-Méditer pour augmenter la concentration

Contrôler ses pensées pour reprogrammer son cerveau et maîtriser ses émotions demandent une importante capacité de concentration. Pour acquérir cette discipline mentale, la méditation est une pratique des plus utiles. Elle permet d’apaiser progressivement le flot de nos pensées et d’identifier clairement vos émotions avant qu’elles ne vous submergent.

Pour les débutants, on recommande en général la méditation en pleine conscience ou la méditation par le vide, qui sont les 2 formes les plus accessibles de cet art. De nombreux ouvrages et sites internet regorgent d’exercices pour les pratiquants de tous niveaux.

7-Modifier en douceur ses habitudes pour créer de nouveaux réflexes

De nos pensées découlent nos actions et donc nos habitudes. La dernière étape pour reprogrammer son cerveau consiste donc à traduire en action les changements intervenus dans votre esprit. Pour ce faire, identifiez les habitudes liées à votre ancienne façon de penser et, de même que vous l’avez fait pour vos croyances, remplacez-les par une autre, plus positive.

Choisissez des habitudes qui favorisent le résultat que vous voulez atteindre et qui vous font vous sentir heureux et de bonne humeur. Par exemple, si vous tentez de vaincre votre peur de l’avenir et que vous avez l’habitude de regarder les informations au petit-déjeuner, cessez d’écouter cet inventaire des malheurs du monde et mettez plutôt de la musique qui vous donne la pêche. Attaquez-vous à chacune de vos habitudes néfastes les unes après les autres, à votre rythme.

Reprogrammer son cerveau en 7 étapes : un exemple pratique

Pour illustrer concrètement comment reprogrammer son cerveau en 7 étapes, prenons un exemple concret, à travers le cas de Jacques. Jacques vient d’avoir 30 ans. Il travaille comme informaticien dans une entreprise de taille moyenne depuis 2 ans. Il est très apprécié de sa hiérarchie, mais manque de confiance en lui.

Cette année, le directeur lui propose de prendre plus de responsabilités en devenant manager. A la clé, une équipe de 10 personnes à gérer et une belle augmentation de salaire. Une offre en or qui lui donne pourtant des sueurs froides. Pour en finir avec son manque d’assurance Jacques décide donc de reprogrammer son cerveau, car il veut saisir cette opportunité.

Étape 1 : Jacques observe le flot de ses pensées et note que les mots « Je ne peux pas », « Je n’y arriverai jamais », « Ce n’est pas pour moi » sont ceux qui reviennent le plus souvent.

Étape 2 : Il se rend compte que les pensées qu’il a identifié comme récurrentes sont celles qui génèrent les angoisses qui lui gâchent la vie.

Elles sont à leur paroxysme quand ses collègues de travail lui parlent de sa future promotion. Dans ces moments, il se sent désemparé et incapable de faire face. Les pensées s’estompent une fois rentré chez lui, lorsqu’il se persuade que s’il refuse, son patron le gardera tout de même. Il se sent alors soulagé.

Étape 3 : En réfléchissant sur l’origine de son comportement, Jacques se souvient d’avoir entendu sa mère répéter durant toute son enfance que les gens changeaient en mal quand ils prenaient des responsabilités.

Elle disait aussi que les hommes honnêtes ne trahissent pas leur statut de travailleur pour se ranger du côté des patrons. Des propos qui ont marqué l’enfant qu’il était au point d’imprégner l’adulte qu’il est devenu. Inconsciemment, il continue d’obéir aux ordres de sa mère en sabordant sa propre réussite.

Étape 4 : à présent qu’il a cerné l’origine du problème, Jacques peut enfin déconstruire ses croyances négatives et se libérer des injonctions maternelles. Il commence par admettre qu’il est un homme libre de ses choix qui décide seul de sa vie et non un enfant soumis à l’autorité de ses géniteurs. Ensuite, il analyse les croyances léguées par sa mère. Tous ceux qui ont obtenu de nouvelles responsabilités changent-ils réellement en mal ?

En réfléchissant, Jacques se souvient de son ami d’enfance, qui a obtenu un poste de directeur l’an dernier. Il est pourtant toujours resté le même et se comporte avec bienveillance vis-à-vis de ses subordonnés.

D’ailleurs, sa mère, qui critiquait si vertement toute évolution de carrière, n’en n’a-t-elle pas accepté une pour toucher une meilleure retraite ? Jacques a réussi à déconstruire son idée limitante, qu’il décide de changer en : « Ceux qui prennent des responsabilités reçoivent le pouvoir de faire le bien autour d’eux ».

Étape 5 : à présent, Jacques répète son mantra jour après jour. Il pense à tous les avantages qu’il va pouvoir tirer de son futur poste, pour lui, mais aussi pour toute son équipe. Chaque jour, il ferme les yeux et visualise le moment de sa nomination, puis l’accomplissement des projets qu’il souhaite porter.

Étape 6 : Pour canaliser son esprit et mieux reprogrammer son cerveau, Jacques médite 10 minutes chaque soir. Ainsi, il est moins stressé et se concentre mieux.

Étape 7 : Afin de se préparer à ses futures responsabilités, Jacques décide de prendre la parole à chaque réunion, lui qui d’ordinaire ne parlait que si on le sollicitait.

Reprogrammer son cerveau pour dépasser ses peurs, ses limites et améliorer son quotidien est à la portée de tous, pour peu qu’on s’y applique en utilisant la bonne méthode.

Appliquez ces 7 étapes dans l’ordre et vous serez étonné par les résultats que vous obtiendrez. En déconstruisant vos croyances limitantes et en vous aidant du pouvoir de la pensée positive, ce sont tous les domaines de votre vie qui s’amélioreront. Alors, lancez-vous et agissez maintenant !

Comment gérer une personnalité colérique ?

par Laisser un commentaire

gerer-personnalite-coleriqueVous vous demandez comment gérer une personnalité colérique ? Alors lisez bien cet article jusqu’à la toute fin !

En effet, s’irriter du comportement des autres, s’emporter contre ses proches, se fâcher pour pas grand-chose… il nous arrive à tous de nous mettre dans un état colérique.

Sinon, nous connaissons tous un proche, un ami, un collègue… qui se met facilement en colère. À titre de rappel, la colère est une forte émotion qu’on a souvent du mal à contrôler.

Cette colère met hors de lui la personne qui en est affectée. Dans la société, la colère est perçue comme une vilaine habitude. La colère est très souvent le résultat de plusieurs facteurs extérieurs affectant la personne.

Sachez que les crises peuvent aller de simples injures, au renfermement total sur soi, jusqu’à une manifestation de violence. Alors, comment agir efficacement et sûrement face à une personnalité colérique ? Zoom sur ce sujet…

Ne pas envenimer la situation

Force est de constater que gérer une personnalité colérique n’est pas une chose évidente. Pourquoi est-il si difficile de gérer une personne en colère ? Cette dernière ne peut plus se contrôler face à cet état. Elle ne maîtrise plus ses gestes, ses paroles, etc.

Si vous vous trouvez face à une personne en colère, évitez surtout d’envenimer la situation. En effet, nombreux sont les gens qui n’arrivent pas non plus à se contrôler face à ce genre de personnalité difficile et répondent aux insultes… Sachez que ce n’est pas du tout la meilleure solution. Ne mettez plus de l’huile sur le feu sinon cela risque d’exploser.

Alors, comment s’y prendre ? Beaucoup diront certainement qu’il faut calmer la personne pour faire baisser les tensions. Détrompez-vous ! Cela fera sans nul doute l’effet inverse à celui escompté. En effet, quand vous demandez à une personne très en colère de se calmer, vous ne ferez que la contraignez encore plus.

Pour elle, votre geste signifie que vous ignorez complètement ce qu’elle ressent. Ne pas laisser une personne colérique s’exprimer jusqu’à la fin sera un catalyseur pour le sentiment négatif. Cette personne a donc besoin d’extérioriser sa colère : crier, injurier, lancer des objets ou frapper dans un meuble… Cela lui permet d’évacuer son trop-plein d’émotion. Si vous l’en empêcher, vous ferez qu’augmenter encore un peu plus sa colère.

Gérer ses émotions

Gérer ses émotions n’est pas facile. En effet, nous voudrons certainement gérer nos émotions, les contrôler, et nous contrôler nous-mêmes… Malheureusement, c’est très difficile, voire impossible. Par exemple, si vous aimez vraiment une personne, vous ne pouvez pas contrôler vos sentiments et vos émotions.

Cela peut se voir à des milliers kilomètres que vous aimez la personne en question. Vous avez le sourire aux lèvres. Votre cœur bat de plus en plus fort lorsque vous vous approchez de la personne… Vous l’aurez compris, nous ne pouvons pas gérer nos émotions. Par contre, vous pouvez les canaliser.

Alors, comment canaliser les émotions d’une personne en colère ? Vous devez avant tout adopter une attitude de compréhension ou d’observation. Lorsque vous parlez avec elle, vous devez bien choisir vos phrases.

Voici quelques exemples de phrases à employer « Si j’étais dans la même situation que toi, je réagirais certainement de la même façon » ou encore « Je te comprends tout à fait ». Une voix très basse et une gestuelle posées sont très efficaces pour calmer une personnalité colérique, narcissique, hystérique ou même histrionique. . Vous l’aurez compris, vous aurez donc besoin d’un peu de tact et de logique. Mettez-vous à la place de la personne !

Confronter la personne colérique à son comportement

L’une des techniques qui marchent, c’est de confronter la personne colérique à son comportement. Cependant, il est important de rappeler qu’il ne faut pas mettre de l’huile sur le feu. Attendez que la personne se calme avant de proposer une solution ou de la confronter à comportement. À titre de rappel, vous devez être très patient (e). Mais ce n’est pas tout, vous devez encore faire preuve de tact et de diplomatie.

Alors, concrètement, comment confronter la personne en colère à son comportement ? Voici un exemple de phrase qui fonctionne : « Est-ce que le fait de t’énerver contre toi-même ou de t’insulter arrangera la situation ? » La réponse attendue est bien évidemment : « Non ».

Vous devez répéter maintes fois cette technique et surtout de continuer de confronter la personne à son comportement. En guise d’illustration, vous pouvez dire : « Et pourras-tu revenir en arrière en te plaignant ? » ou encore « pourras-tu changer les choses et revenir en arrière en critiquant une quelconque personne ? » Encore une fois, la réponse attendue est « non » bien sûr.

N’oubliez surtout pas que cette étape intervient après l’apogée de l’émotion. C’est le meilleur moment pour dénouer les tensions et de proposer une solution efficace. La personne est à ce moment en mesure de vous écouter. À noter qu’il est crucial de s’adapter à chaque situation et d’expérimenter.

Dissiper l’émotion négative

Dissiper l’émotion négative est très important afin de proposer une solution à la personne colérique. Mais, comment faire ? Comment agir ? Que dire ? La dissipation de l’émotion négative est une étape importante pour calmer la personne. Cette étape permettra de parler calmement avec la personne colérique et de trouver une solution adéquate face aux problèmes (à ses doutes, ses soucis, ses demandes, ses interrogations…).

Quel comportement adopter face à une personne colérique ? Comment faire pour calmer la personne ? Comment dissiper efficacement l’émotion négative chez la personne ? Des tas de questions vous tracassent peut-être en ce moment. Pour vous éclaircir sur ce point, ci-dessous quelques exemples concrets.

Lorsque vous discutez avec la personne colérique vous devez rester positif quoi qu’il arrive et quoi qu’il advienne. Les pensées de la personne sont certainement négatives pour qu’elles s’énervent à ce point. À vous donc de le calmer en utilisant des affirmations positives.

Vos affirmations positives l’aideront à croire en son potentiel. En utilisant ces affirmations, vous modifiez réellement la partie de son cerveau en éliminant toutes ses pensées négatives. Trouvez des affirmations positives efficaces et répétez-les plusieurs fois afin que son subconscient soit bien inondé de pensées positives.

Attendre le bon moment avant de proposer une solution

D’une manière générale, les gens ont tendance à proposer une solution rapidement en face d’une personne en colère. Or, une chose est sûre, cela ne fera qu’envenimer les choses. Comme vue plus haute, la personne aura l’impression que vous ne l’écoutez même pas. N’oubliez pas qu’une personne en colère cherche avant tout à s’exprimer.

Tout d’abord, vous devez donc avant tout être à son écoute. Elle se calmera automatiquement lorsqu’elle se sentira écoutée et comprise. Prenons l’exemple d’une personne qui a oublié les papiers de sa voiture à la maison. Pour les récupérer, elle devrait faire 2h de trajet. Dans ce cas de figure, il y a de fortes chances pour que cette personne s’énerve contre elle-même. Si vous vous trouvez dans cette situation, ne soyez pas pressé de proposer une solution. Attendez que la personne se calme.

Une fois que la personne s’est bien calmée et que vous ne ressentez plus de tensions, vous pourrez proposer une solution efficace pour résoudre le problème en question. Prenez le temps de bien réfléchir à la solution. Si vous proposez la première solution qui vous passe par la tête et si cela ne lui convient pas, vous risquez encore d’énerver la personne plus qu’elle ne l’est. Prudence est donc de mise. Si nous reprenons l’exemple plus haut, vous pourrez proposer un déplacement en taxi pour récupérer les papiers du véhicule.

En quête d’une solution

Il est donc préférable d’attendre le bon moment avant de proposer une solution. En parlant calmement, il est plus facile de trouver une solution à deux. Votre objectif est de pouvoir proposer une solution efficace. Attention, votre but n’est pas de comprendre le problème, car dans ce cas, vous risquez de remuer le couteau dans la paie.

La personne risque de s’énerver à nouveau. Vous devez donc faire très attention. Lors vous parlez calmement avec la personne, axez la communication sur les différents moyens disponibles afin d’atteindre un résultat satisfaisant pour les deux parties.

Par exemple, vous lui posez la question suivante : « Quand tu y penses tranquillement, y’a-t-il des solutions pour arriver à accomplir le travail ? » La réponse attendue est bien sûre que « oui ». Ensuite, dites-lui : « Pourrais-tu faire quelque chose en particulier pour atteindre ton but ? Vous pourrez ajouter quelques solutions comme “appeler un ami qui habite dans les environs pour récupérer les papiers du véhicule chez toi ?” ou encore “demander à quelqu’un de te ramener chez toi”.

À noter que les questions offrent la possibilité à la personne de trouver des solutions par elle-même. Et c’est la meilleure chose à faire face à une personnalité colérique. N’insistez pas à proposer vos solutions, car vous risquerez encore plus de l’énerver.

Maintenant, vous savez comment réagir face à une personne qui un caractère colérique. Si un de ces jours vous vous trouvez face à une personne agressive et colérique, calmez-vous et ne rentrez surtout pas dans son jeu. Choisissez bien vos mots et ayez du tact ! Une chose est sûre, vous pourrez désarmer sans difficulté les personnes les plus agressives !

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