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Comment sortir de sa zone de confort ?

juillet 25, 2021 par Sylvain Wealth Laisser un commentaire

« Faites chaque jour quelque chose qui vous effraie. »

Cette célèbre phrase d’Eleanor Roosevelt fait partie des citations les plus connues dans le monde du développement personnel.

Mais il n’est pas toujours évident de savoir la mettre en pratique.

Se challenger est une belle expérience qui peut aussi tourner au fiasco et faire passer l’envie de recommencer.

Pour réussir à devenir la meilleure version de vous-même, découvrez comment sortir de sa zone de confort et avoir envie de recommencer !

Pourquoi sortir de sa zone de confort ?

La zone de confort, c’est celle dans laquelle nous évoluons au quotidien. C’est le métier que l’on connaît sur le bout des doigts et dont on maîtrise tous les rouages. L’entreprise dans laquelle nous avons nos habitudes, avec des collègues que l’on a appris à connaître.

Nos amis, aussi. Tous des connaissances de longue date. C’est ce programme sportif que l’on répète à chaque entraînement, parce qu’on sait qu’on le maîtrise. Bref, la zone de confort, c’est ce cocon qui fait notre quotidien et qui nous rassure, parce que nous le maîtrisons.

On peut donc se demander légitimement, pourquoi en sortir ? Quel est l’intérêt de devoir faire des efforts, de prendre des risques, pour des résultats qui ne seront pas toujours au rendez-vous, alors que nous pouvons rester en terrain conquis ?

La plupart des gens pensent que la réponse à cette question est : aucun. Ils ne trouvent pas de bonne raison de bousculer leur train-train quotidien. Ils ont même tendance à juger assez sévèrement ceux qui s’y aventurent.

Pourtant, sortir de sa zone de confort est absolument indispensable pour évoluer et avancer dans la vie. C’est le seul moyen d’obliger votre esprit à donner le meilleur de lui-même. Ce n’est qu’en position d’insécurité que vous pourrez apprendre de nouvelles compétences, rencontrer de nouvelles personnes et découvrir de nouveaux horizons. Et c’est ce que cet article se propose de vous apprendre à faire. Si vous appliquez cette méthode, vous deviendrez plus courageux, plus compétent et surtout plus libre.

Sortir de sa zone de confort en 3 étapes

S’aventurer en terre inconnue ne signifie pas faire n’importe quoi, n’importe comment. Agir de la sorte est même le meilleur moyen de subir une déconvenue qui vous enlèvera toute envie de recommencer à vous prendre pour Bob Morane. Sortir de son cocon, c’est comme faire un voyage : ça se prépare. Voici les trois étapes indispensables pour explorer d’autres chemins, sans pour autant vous perdre en route.

Étape 1 : préparer le terrain

Cette première étape vous semblera peut-être manquer d’action, mais elle est essentielle pour donner du sens à votre démarche et la cadrer. Car toute action doit avoir un but pour ne pas être un vulgaire gaspillage d’énergie. Prenez le temps de la mener correctement pour tirer le meilleur parti de la suivante. Quand on veut sauter dans le vide, mieux vaut commencer par apprendre à bien plier son parachute !

Lire des récits inspirants

Il peut sembler surprenant de s’engager dans une démarche tournée vers l’action en faisant quelque chose d’aussi statique que de lire. Pourtant, ce premier pas a toute son importance. Il vous permettra de comprendre tout ce que cette prise de risque peut vous apporter.

Toutes les personnes à succès ont réussi parce qu’à u moment donné, elles ont su sortir de leur sphère d’influence pour aller plus loin. Aucun succès ne s’est bâti en se contentant de jouer à domicile. Seuls les conquérants parviennent à atteindre leur but.

Choisissez plusieurs personnes dont le parcours vous inspire. Peu importe leur domaine d’activité. Il suffit que ce soit des gens que vous admirez. Ce premier défrichage vous permettra de faire le plein de motivation et d’apaiser un certain nombre de peurs. Vous réaliserez que, si d’autres l’ont fait, vous pouvez le faire. Et vous serez d’autant plus enclin à sauter le pas. Vous y trouverez aussi des clés éviter certaines erreurs au moment de vous lancer.

La vie des personnes à succès est toujours une source d’inspiration intéressante qui permet de mieux comprendre la mécanique de la réussite et les efforts qu’elle demande. La pédagogie par l’exemple est l’une des meilleures méthodes d’apprentissage. Il serait dommage de vous en priver !

Connaître ses points forts et ses axes d’amélioration

Maintenant que vous avez fait le plein d’énergie, il est temps de commencer à vous occuper de votre propre cas. Sortir de sa zone de confort demande en premier lieu de bien se connaître soi-même. Sans quoi, vous ne saurez pas dans quelle direction partir. Préparez-vous don à faire une petite séance d’introspection.

Prenez votre plus belle plume et dressez la liste de vos points forts. Essayez d’être le plus honnête possible, sans vantardise inutile. Décrivez objectivement vos qualités, les choses que vous savez faire et les domaines dans lesquels vous savez que vous êtes bon. Faites de même avec vos points faibles et les choses sur lesquelles vous vous sentez moins à l’aise. Une fois encore, ne cédez pas à la tentation d’en rajouter.

Le principe du dépassement de soi étant de s’améliorer, vous allez donc devoir vous concentrer sur la dernière partie de votre liste : celle des axes d’amélioration. La première n’est pas à mettre de côté pour autant. Vos points forts sont les armes avec lesquelles vous allez devoir vous battre une fois hors de votre zone de confort pour avancer.

Prenons un exemple concret. Imaginons que vous ayez peur de parler en public, mais que vous ayez listé dans vos points forts que vous êtes doué pour faire rire les autres. Servez-vous de ce talent pour détendre l’atmosphère lorsque vous parlez à un groupe et faire ainsi reculer votre peur.

Définir un objectif précis concret

Je le disais au début de cet article : toute action doit avoir un but défini. Il est donc temps de définir l’objectif que vous cherchez à atteindre. Parmi toutes les choses que vous souhaitez améliorer, choisissez-en une qui vous sera utile pour faire évoluer votre situation à moyen terme, ou qui vous tient particulièrement à cœur.

Notez en quelques lignes la raison pour laquelle vous voulez vous concentrer spécifiquement sur ce point. L’écriture vous permettra de focaliser votre attention et d’éclaircir votre esprit. C’est aussi une manière de vous engager vis-à-vis de vous-même.

Détaillez ensuite les différentes étapes à atteindre pour valider cet objectif. Elles doivent correspondre à autant de paliers pour lesquels il vous sera nécessaire de vous dépasser un peu plus à chaque fois. Vous avez maintenant une destination et une feuille de route à suivre. Focalisez-vous dessus tant que vous n’êtes pas arrivé à bon port. Si vous essayez de sortir de votre zone de confort dans tous les domaines à la fois, le résultat sera assez chaotique.

Identifier et classer ses peurs

Ce qui nous empêche de repousser nos limites, ce sont nos peurs. Si vous n’avez pas encore fait cette excursion en terre inconnue dont vous avez pourtant envie, c’est que vous redoutez quelque chose. Toute la question consiste à savoir quoi. Le courage n’est pas l’absence de peur, mais la capacité à la maîtriser pour ne pas être incapable d’agir.

Nommer votre peur est le premier pas pour faire disparaître. Prenez donc le temps de vous asseoir et de vous demander : “Qu’ai-je peur qu’il se passe si je fais cela ?” Laissez vos craintes s’exprimer et notez-les, de la plus grande à la plus petite. De la plus probable à la plus farfelue.

Une fois ceci fait, prenez celle qui représente votre pire cauchemar et demandez-vous s’il est objectivement et rationnellement possible que cela se produise. Et, si c’était le cas, quels seraient les impacts réels dans votre vie ? Risquez-vous quelque chose de grave ? Pourriez-vous perdre la vie, un membre de votre famille, votre logement, ou votre source de revenu ? Dans la majorité des cas, la réponse est négative. Rationaliser vos angoisses de la sorte est le meilleur moyen de les surmonter.

Changer sa vision de l’échec

Un autre facteur limitant qui empêche de nombreuses personnes de repousser leurs limites, c’est leur vision de l’échec. La société moderne, avec sa culture de la compétition à outrance, a tendance à valoriser la réussite, tout en oubliant de parler du nombre d’échecs qu’elle implique. À titre d’exemple, elle glorifie Steve Jobs, tout en omettant de dire qu’il a été évincé d’Apple quelques années après sa création.

Pour réussir à avancer, vous devez comprendre que l’échec n’existe pas, à partir du moment où vous agissez. Toute prise de risque est forcément positive, car elle a quelque chose à vous apporter. Si tout se passe comme vous l’espériez, vous avez gagné ce que vous étiez venu chercher et tout va bien pour vous. Si ce n’est pas le cas, vous avez quand même obtenu une victoire : celle d’avoir osé essayer.

Victoire récompensée par un cadeau précieux : une expérience dont vous pourrez tirer les leçons avant de retenter votre chance. Changez votre vision de l’échec pour sortir de votre zone de confort sans pression inutile.

Étape 2 : passer à l’action

Vous avez fait vos préparatifs avec soin ? Il est maintenant temps de partir en voyage vers le confins des possibles et de passer à l’action pour de bon !

Objectif un défi par semaine pour sortir de sa zone de confort

La meilleure manière de convertir vos intentions en actes est de trouver une manière de le faire qui soit à la fois engageante et ludique. C’est pour cela que le modèle du défi hebdomadaire fonctionne bien. Le principe est simple. Chaque semaine, vous vous fixez une action à réaliser qui vous fait sortir de votre zone de confort.

Elle doit, bien sûr, être en rapport avec l’objectif que vous poursuivez. Si vous réussissez, vous vous lancez un nouveau défi plus difficile la semaine suivante. Si ça ne marche pas, vous faites un debrief par écrit et vous revenez à la charge la semaine suivante.

Inscrivez votre défi sur un papier décoré à votre goût et accrochez-le au-dessus de votre bureau. Vous pouvez aussi le mettre en fond d’écran de votre portable. Le but est de l’avoir sous les yeux le plus souvent possible, pour réduire l’envie de vous dérober au dernier moment.

Pour évoluer, il faut faire ce que vous vous engagez à faire, pas uniquement ce que vous avez envie de faire. Lorsque vous relèverez votre challenge avec facilité, passez à deux défis chaque semaine pour corser un peu plus les choses.

Étape 3 : aller encore plus loin

Une fois que vous aurez obtenu votre première victoire, il est important de continuer sur cette lancée. Voici deux astuces qui vous permettront de prendre goût au dépassement de soi. En les appliquant, vous serez surpris de voir à quel point vous pouvez repousser vos limites.

Se récompenser pour chaque victoire

Prenez l’habitude de vous récompenser pour chaque victoire obtenue. D’abord, parce que vous le méritez, ensuite parce que cela crée un réflexe conditionné. En agissant de la sorte, vous associerez la sortie de votre zone de confort à quelque chose de positif. Vous serez donc plus enclin à passer à l’action.

Tenir un journal de réussite

Le journal de réussite est un cahier décoré dans lequel vous notez chaque défi que vous avez réussi à relever. Décrivez la scène avec la plus grande précision possible et notez les émotions que vous avez ressenties à ce moment-là. Chaque fois que vous sentirez la peur refaire surface, lisez-en quelques pages. Vous vous rappellerez ainsi tout ce que vous êtes capable de faire quand vous sortez de votre domaine de prédilection.

Sortir de sa zone de confort est une expérience qui peut être effrayante, mais elle est indispensable pour réussir dans la vie. Ce n’est qu’à ce prix que vous parviendrez à devenir une meilleure personne et à obtenir des résultats différents de ceux de la majorité. Commencez par vous préparer en faisant le bilan de vos forces et de vos faiblesses.

Définissez votre but, rationalisez vos peurs, puis lancez-vous. N’oubliez pas de vous récompenser et de garder la trace de vos victoires, elles sont des éléments indispensables de votre légende personnelle qui vous aideront à garder confiance et à être toujours plus audacieux. Alors, qu’attendez-vous pour commencer le voyage ?

Comment ne plus se soucier de ce que les autres pensent ?

juillet 17, 2021 par Sylvain Wealth Laisser un commentaire

ne-plus-se-soucier-de-ce-que-les-autres-pensent Vous est-il déjà arrivé d’avoir envie de faire quelque chose et de vous abstenir par peur du regard des autres ?

Je parle d’une chose qui vous tenait vraiment à cœur.

Dans ce cas, vous connaissez ce sentiment de frustration mêlé de tristesse et de colère.

Colère envers ceux à qui vous avez eu peur de déplaire, mais surtout envers vous-même de n’avoir pas été plus fort.

Et vous ne voulez plus revivre ça.

Pour reprendre le contrôle, découvrez comment ne plus se soucier de ce que les autres pensent !

Le regard des autres : ce miroir déformant

Le regard des autres, nous y sommes confrontés depuis notre plus jeune âge. Tour à tour, en fonction de ce qu’il nous renvoie, il nous déprime, ou nous remplit d’aise. Nous tremblons de peur lorsqu’il se fait juge et sommes trop souvent prêts à repousser nos limites pour lui plaire.

Nous avons beau savoir que son œil impitoyable nous fait plus de mal que de bien, nous continuons à regarder notre image à travers son prisme, telle la méchante reine du célèbre conte des frères Grimm qui demande chaque jour à son miroir si elle est bien la plus belle.

Le problème, c’est qu’il s’agit d’un miroir déformant. Il ne reflète pas l’image du sujet, mais la vision qu’une tierce personne a de lui, ce qui est totalement différent. Malheureusement, cette projection a pourtant le pouvoir d’influencer le comportement de certaines personnes, parfois au point de le faire changer du tout au tout.

L’objectif de cet article est de vous faire comprendre les dangers de cette fascination pour la construction d’une vie heureuse et de vous donner les clés indispensables pour sortir une bonne fois pour toutes du palais des glaces géant que constitue le regard de la société sur vous.

Pourquoi est-il difficile de ne plus se soucier ce que les autres pensent ?

Même une fois qu’on a pris conscience qu’une opinion extérieure sur nous ne reflète pas la réalité, il reste bien difficile de ne plus se soucier de ce que les autres pensent, dans la pratique. Certains y arrivent mieux que d’autres, mais c’est un comportement qui nous paraît peu naturel, tout simplement parce que nous avons été conditionnés à y faire attention.

Depuis toujours, la société nous fait croire que leur avis doit nous servir d’étalon. Ce principe est porté par la voix de nos parents, puis par celle de nos professeurs. À l’adolescence, nos amis prennent le relais. Une fois entrés dans le monde du travail, voici venu le tour de notre employeur.

Difficile dans ces conditions de prendre confiance en soi pour se réaliser pleinement. Heureusement, il est possible de déprogrammer ce mode de fonctionnement de votre esprit. Ce qui suit va vous aider à comprendre pourquoi ne plus se soucier de ce que les autres pensent est une question de survie.

S’inquiéter du jugement des autres est dangereux

Oui, vous avez bien lu. Cette affirmation peut sembler surfaite, ce n’est pourtant que la réalité. Ça ne veut pas dire pour autant que vous devez vous fermer à tout avis exprimé par un tiers. Mais simplement que dépendre du regard des autres est le plus sûr moyen de vous oublier, d’abandonner vos rêves et de ne jamais être heureux.

Les gens qui vous entourent ont leur propre histoire, leurs propres paradigmes, leurs propres valeurs. C’est à travers ce prisme que s’exerce leur regard et ils ne peuvent avoir le même que vous. Quoi que vous fassiez, vous ne pourrez jamais leur plaire en tout point.

Si vous vous acharnez à essayer, vous ne ferez que déformer votre propre univers pour tenter de le faire coller à leur vision. Vous vivrez en suivant un scénario écrit par d’autres, alors que vous devriez être le réalisateur, le metteur en scène et l’acteur principal de votre existence. Voilà pourquoi il est si important d’apprendre à ne plus se soucier du regard des autres. Comment se libérer du regard des autres en 7 étapes ?

Passons maintenant à la partie pratique de cet article. Ces 7 étapes vous permettront de vous détacher enfin de ce que pensent les autres pour vous épanouir et être heureux.

1- Prendre la responsabilité de son propre bonheur

La première chose à faire pour apprendre à ne plus se soucier de ce que les autres pensent, c’est de prendre la responsabilité de son propre bonheur. Cette étape doit être l’acte fondateur de votre libération. Il ne s’agit pas seulement de mots, mais d’une prise de conscience profonde qui doit résonner au plus profond de votre cœur.

Attendre des autres qu’ils vous rendent heureux et vous valorisent revient à vouloir piloter une voiture en laissant le volant aux mains d’une autre personne. En admettant que vous ne devez chercher ce trésor qu’en vous-même, vous reprenez le contrôle des choses. Vous cessez d’être dans la réaction pour entrer dans l’action et cela change tout.

Contrairement à ce que beaucoup de gens craignent, cela ne signifie pas que vous allez finir votre vie tout seul. Bien au contraire. Une fois que vous aurez rétabli l’harmonie en vous, vous pourrez vivre en harmonie avec les autres. Vous apprendrez à apprécier ce qu’il y a de bon dans vos relations, sans pour autant leur abandonner le contrôle à la première occasion.

2- Renforcer son estime de soi

La seconde étape à franchir pour se détacher du regard des autres et de la pression sociale consiste à renforcer son estime de soi. La seule opinion à propos de vous-même qui doit avoir de l’importance, c’est la vôtre. Plus vous vous aimerez, plus les autres vous aimeront. Ce n’est pas de l’égocentrisme, ni de l’arrogance. Juste une clé indispensable pour être heureux. Traitez-vous comme vous traitez votre meilleur ami : avec douceur, respect et bienveillance.

Prenez conscience que vous avez des qualités uniques et acceptez vos défauts. Ils contribuent aussi à votre personnalité et peuvent devenir des qualités dans certaines circonstances. Des exercices de développement personnel, comme le journal des accomplissements peuvent vous aider à progresser dans ce domaine.

Il s’agit d’écrire dans un joli cahier toutes les choses que vous avez réussi à accomplir et qui vous rendent fier, depuis votre enfance jusqu’à aujourd’hui. Revivez chaque souvenir au fur et à mesure pour prendre conscience de tout la force qui vous anime. Utilisez ces ancres émotionnelles chaque fois que vous sentirez votre confiance vaciller.

3- Apprivoiser ses peurs

Chaque fois que vous aurez peur de vous lancer dans quelque chose en pensant au jugement des autres, n’essayez pas de faire taire vos angoisses. Cette stratégie est contre-productive. Elles vont continuer à se développer en sourdine dans un premier temps, avant de monter crescendo jusqu’à ce que vous ne puissiez plus les ignorer.

Au lieu de cela, vous devez apprendre à les apprivoiser. Commencez par les laisser s’exprimer, puis détaillez-les. Vous vous apercevrez qu’elles sont bien souvent irrationnelles. Ainsi, vous pourrez les déconstruire.

Imaginons, par exemple, que vous ayez envie de proposer un projet atypique lors d’une réunion de travail, mais peur de ce que vos collègues vont en penser. Que craignez-vous exactement ? Qu’ils éclatent de rire ? Qu’ils pensent que vous êtes carriériste et vous mettent à l’écart ? Qu’ils refusent avant d’avoir étudié l’idée ?

Demandez-vous ensuite ce qui se passerait si votre angoisse devenait réalité. Cela affecterait-il votre vie de façon grave ? La plupart du temps, la réponse à cette question est « non ». Voilà une bonne raison de ne plus vous soucier de ce que les autres pensent.

4- Comprendre ce que révèlent les jugements

Souvent, le jugement des autres en dit bien souvent plus long sur eux que sur vous. Comme je l’ai dit au début de cet article, chacun voit le monde avec ses propres lunettes. Il évalue donc les gens selon sa propre vision du monde. Comprendre ce principe vous permet de prendre du recul.

Ceux qui disent du mal de vous ne font que réagir à leur histoire personnelle. Ils n’en n’ont pas conscience, mais ce n’est pas réellement vous qu’ils blâment. C’est simplement la part d’eux-mêmes que vous leur renvoyez.

Une personne qui se moque de votre désir d’entreprendre ne dénigre pas vos qualités d’entrepreneur. Inconsciemment, elle ne fait que réagir à sa frustration de ne pas avoir le courage d’agir pour changer sa vie. Une fois que vous admettez que le jugement des autres ne vous est pas vraiment destiné, il ne peut plus vous atteindre.

5- Faire preuve de compassion

Cette cinquième étape pour apprendre dépasser les critiques est la suite logique de la précédente. Chaque fois que vous entendez une pensée négative à votre égard, vous savez à présent que l’autre ne fait qu’exprimer ses peurs, ses frustrations et son ressentiment.

S’il le déverse sur vous, c’est qu’il n’a même pas conscience de la noirceur dans laquelle il patauge. Rien ne sert donc de rentrer dans son jeu en cherchant à le faire changer de point de vue.

La meilleure parade consiste à prendre une position de supériorité intellectuelle en éprouvant de la compassion vis-à-vis de cette souffrance. Évidemment, elle n’a pas besoin d’être formulée verbalement.

Contentez-vous de la ressentir au plus profond de vous. Laissez les propos blessants, les jugements de valeur et la désapprobation glisser sur vous. Ils ne sont pas votre problème, en réalité. Seulement celui de la personne qui les exprime. Laissez-lui donc cette responsabilité et concentrez-vous sur votre propre bonheur.

6- Accepter de ne pas forcément être aimé

Tout le monde connaît ce célèbre proverbe : « On ne peut pas plaire à tout le monde. » Il est absolument vrai. Quoi que vous fassiez, il y aura toujours quelqu’un pour y trouver quelque chose à redire. Tout simplement parce qu’il est impossible de concilier les points de vue de tous les gens que vous fréquentez. Sauf à devenir un véritable caméléon et à oublier votre propre identité. La seule solution pour vivre heureux, c’est d’y renoncer.

Aimez-vous vous-même et ce sera bien suffisant. Accueillez aussi l’amour sincère de ceux qui vous apprécient et désintéressez-vous des autres. Sans compter que plaire à tout le monde revient à ne plaire à personne. Si vous vous adaptez sans cesse aux autres, ils ne vous apprécieront pas pour ce que vous êtes vraiment.

7- Trouver place dans le monde

Cette dernière étape permet de ne plus se soucier de ce que les autres pensent de façon définitive. Trouvez votre place dans le monde, ce qui donne du sens à votre vie, ce qui vous rend profondément heureux. Votre vocation en quelque sorte. Ce n’est pas nécessairement une tâche figée dans le temps, elle peut évoluer avec votre vie et vos aspirations. C’est pour ça qu’il n’est pas toujours facile de la cerner.

Mais une fois que vous l’aurez trouvé, vous sentirez au fond de votre cœur que tout a changé. Vous réaliser au quotidien sera un bonheur si intense que vous n’entendrez même plus les pensées négatives. Vous serez à votre juste place et vous attirerez des gens aussi alignés et positifs que vous.

Pour trouver ce Graal, il suffit de plonger en vous. Ensuite, fixez-vous les objectifs nécessaires pour atteindre ce but et mettez toute votre énergie pour les atteindre. Investissez-vous corps et âme, comme si votre vie en dépendait. Vous serez surpris de constater que vous ne prêtez plus attention à l’opinion d’autrui.

Ne plus se soucier de ce que les autres pensent est difficile, car nous avons été conditionnés à rechercher l’approbation de nos pairs. Pourtant, c’est une quête aussi vaine que dangereuse, car elle vous condamne à être le jouet d’angoisses et de frustrations qui ne vous appartiennent pas, au lieu de travailler à votre propre bonheur.

Les 7 étapes décrites dans cet article vous permettront de reprendre le contrôle de votre vie en pleine conscience, puis de mettre les peurs d’autrui à distance pour les empêcher de vous nuire. Ainsi, vous pourrez trouver votre raison d’être et vous épanouir. Il ne vous reste qu’à faire le premier pas !

12 signes que vous êtes un haut potentiel

juillet 15, 2021 par Sylvain Wealth Laisser un commentaire

signes-que-vous-êtes-un-haut-potentiel Vous avez souvent l’impression d’être en décalage avec les autres ?

Vous avez du mal à comprendre leur manière de penser et leurs valeurs ?

Il est possible que vous fassiez partie de ces gens dont le potentiel intellectuel dépasse celui de la majorité.

Pour savoir si c’est votre cas, découvrez ces 12 signes que vous êtes un haut potentiel.

1- Vous réfléchissez plus vite que les autres

Le premier signe que vous êtes un haut potentiel, c’est que vous réfléchissez souvent plus vite que les autres. Déjà à l’école, vous aviez du mal à comprendre pourquoi le professeur avait besoin d’expliquer plusieurs fois aux autres élèves. Au bureau, c’est la même chose.

Votre cerveau a tendance à trouver la réponse avant même que votre boss ait fini de poser la question. Du coup, vous avez souvent l’impression de piloter une formule 1 sur une route peuplée de charrettes.

Cette agilité cognitive ne vous rend pas forcément la vie pus facile, car ceux qui vous entourent ne réagissent pas aussi vite que vous. Parfois, leur lenteur vous énerve. D’autres fois, ce sont eux qui vivent mal votre côté « premier de la classe ». Dans les deux cas, cela peut déboucher sur des conflits. Le sentiment de décalage permanent et la solitude qui en découlent peuvent aussi être difficile à vivre.

2- Vous avez une pensée en arborescence

La pensée en arborescence est un autre signe que vous êtes un haut potentiel qui ne trompe pas. Les personnes au potentiel moyen ont ce que l’on appelle une pensée linéaire. Cela signifie que leurs idées s’enchaînent de façon logique. Ils développent l’idée qu’ils ont en tête jusqu’à arriver au bout du sujet. Ensuite, ils passent à l’idée suivante.

Le cerveau d’une personne à haut potentiel ne fonctionne pas de cette manière. Il produit ce que l’on appelle une pensée en arborescence. Pour illustrer ce fonctionnement particulier de manière schématique, on peut prendre l’exemple des chemins d’accès dans les répertoires d’un ordinateur où chaque dossier mène à un autre sous-dossier.

Quand une personne à haut potentiel intellectuel aborde un sujet, il est donc fréquent qu’elle s’aventure dans des digressions qui l’éloignent du sujet de départ. Lorsque deux zèbres parlent entre eux, il est fréquent qu’à la fin de la conversation, ils ne se rappellent plus comment elle a commencé tant leur pensée en arborescence les a fait dévier de nombreuse fois.

3- Vous êtes plutôt introverti

Les zèbres se reconnaissent aussi à leur caractère majoritairement introverti. Un terme qui mérite un éclaircissement, car il est souvent mal utilisé. Une personne introvertie est une personne dont l’énergie vitale est plus volontiers tournée vers l’intérieur que vers l’extérieur. Elle n’éprouve pas le besoin d’être au centre de l’attention et a une appétence pour les contacts sociaux réduite au strict minimum.

Un introverti possède un monde intérieur extrêmement riche et une capacité de concentration exceptionnelle. Cette disposition d’esprit lui permet d’aborder des problèmes très complexes dans leur globalité et d’aller au fond des choses. Avare de mots les introvertis attendent que chacun ait fini de s’exprimer avant de prendre la parole.

Si vous vous reconnaissez dans cette description, cela peut être un signe que vous êtes un haut potentiel. L’intellect très développé des sur efficients leur permet d’atteindre un niveau de compréhension inaccessible pour les autres. La contemplation de cette dimension particulière du monde absorbe une grande partie de leur énergie et les occupe bien plus que les activités sociales courantes.

4- Vous vous posez toujours davantage de questions que les autres

Une autre caractéristique des hauts potentiels intellectuels, c’est qu’ils se posent toujours davantage de questions que le commun des mortels. Ils voient plus loin et plus large que leur entourage sur n’importe quel sujet.

Cela se manifeste par une curiosité débordante, mais aussi des comportements qui peuvent sembler déconcertants. Par exemple, une personne à l’intelligence normale qui voit quelqu’un jeter son gobelet en plastique par terre se dire simplement qu’il est dégoûtant de jeter ses déchets. Elle se plaindra du manque de civisme de l’auteur de ce geste, mais sa pensée n’ira pas plus loin.

Pour un zèbre, les choses sont toutes autres. Il va immédiatement se demander si le vent souffle suffisamment fort pour emporter le gobelet avant le passage du service de nettoyage urbain. Puis, il pensera à ces monticules de déchets plastiques qui s’amoncellent dans la nature à cause de ce type de comportement. Au final, c’est la vision d’une planète recouverte de gobelets sales qui finira par s’imposer à ses yeux.

Si cette sagacité peut être un atout indéniable pour faire des études, ou mener des recherches, cela peut aussi constituer un handicap dans certaines situations. Votre appétence infatigable pour les interrogations et votre incapacité à rester à la surface des choses vous ont déjà valu des réactions d’agacement de la part de votre entourage ? Il est possible que vous fassiez partie des 3 % de personnes qui possèdent un haut potentiel intellectuel.

5- Vous avez une sensibilité exacerbée

Si l’on dit de vous que vous êtes un hypersensible, c’est peut-être parce que votre haut potentiel intellectuel y est pour quelque chose. Les personnes sur efficientes font preuve d’une sensibilité beaucoup plus développée que la normale. Elles ressentent chaque émotion, qu’elle soit positive ou négative, de façon viscérale.

Si elles vivent les bons moments de façon plus intense que la moyenne, cette sensibilité à haute fréquence entraîne aussi des comportements qui ne sont pas toujours compris de la part de l’entourage. Si le côté écorché vif qui prend tout à cœur peut séduire, en amitié comme en amour, il finit aussi parfois par lasser les autres.

Lorsqu’ils prennent quelqu’un en affection les hauts potentiels s’investissent totalement pour lui. Malheureusement, certaines personnes mal intentionnées se montrent indignes de ce dévouement et en abusent. Une situation que les zèbres vivent particulièrement mal, lorsqu’ils découvrent le pot aux roses. Pour se protéger de ce genre de déceptions certains finissent par se fermer aux autres.

6- Vous avez un sens aigu de la justice

Vous ne supportez pas d’être face à une situation inique ? La plus petite injustice vous met hors de vous, que vous en soyez victime, ou témoin ? Si entendre l’un de vos collègues de travail subir une remontrance non méritée suffit à gâcher votre journée, c’est le signe que vous êtes un zèbre qui s’ignore peut-être.

Contrairement aux autres personnes les sur efficients ont un sens aigu de la justice. Ils ont des valeurs fortement ancrées, renforcées par leur sensibilité accrue. Pour couronner le tout, ils mesurent mieux les conséquences profondes de chaque action injuste. C’est pour toutes ces raisons qu’ils sont profondément révoltés lorsque cela se produit.

Alors qu’une personne lambda aura oublié la chose dans les heures qui suivent, les zèbres sont capables de ruminer leur révolte pendant des jours. Certains finissent même par s’engager pour défendre une cause en rapport.

Lorsque c’est le cas, ils s’investissent généralement corps et âme dans leur lutte. Si vous êtes incapable de dormir lorsque vous pensez aux animaux abandonnés, ou aux enfants exploités dans les usines de textile, il est fortement possible que vous soyez HPI.

7- Vous ne supportez pas la violence

Dans la même veine, une aversion profonde pour toute forme de violence fait partie des signes que vous êtes un haut potentiel. Toute démonstration de violence atteint les personnes sur efficientes jusque dans leur chair, même si elle ne leur est pas destinée. Cela est valable pour la brutalité physique aussi bien que pour la violence morale.

Même si la plupart des zèbres sont profondément pacifiques, c’est l’une des situations où ils peuvent faire preuve d’une très grande brutalité pour faire cesser l’agression, qu’ils en soient victimes ou témoins. Elle peut même être supérieure à celle à laquelle ils sont confrontés. Généralement, ils regrettent d’ailleurs leur emportement après coup.

La plupart des zèbres abhorrent les pratiques telles que la chasse, ou la corrida et sont, en général, peu friands de sports de combat. Même lorsqu’elle est simulée la violence dérange les sur efficients. Ils n’aiment pas les films, ou les livres dans lesquels elle tient une grande place.

8- Vous avez tendance à tout intellectualiser

Une tendance à tout intellectualiser systématiquement fait aussi partie des signes que vous êtes un haut potentiel. Avec un cerveau qui tourne à 1 000 à l’heure, il est parfois difficile de se déconnecter pour laisser parler ses sens.

Les personnes HPI ont donc souvent du mal à habiter leur corps et se contentent de vivre dans leur esprit. Il leur est difficile de cesser de penser pour ressentir pleinement certaines choses et de se laisser alors. De même, au lieu de se laisser porter par leurs émotions, elles ont tendance à tout vouloir décortiquer, comprendre et rationaliser alors que certaines choses sont irrationnelles par nature.

9- Vous vous préoccupez peu des choses matérielles

Vous n’attachez pas d’importance particulière à l’argent ? La vue du dernier gadget high-tech et les signes extérieurs de richesse arborés par les autres vous laissent de marbre ? Vous êtes soit un écologiste convaincu, soit un haut potentiel intellectuel (les deux n’étant pas incompatibles).

Les sur efficients savent que l’essentiel ne se trouve pas dans les choses que l’on peut posséder. Grâce à la sagacité de leur esprit, ils ont accès à des plaisirs d’une intensité bien supérieure. Ils ont également une conscience aigüe des conséquences négatives de la course à l’argent et de la surconsommation forcenée.

10- Vous avez du mal à comprendre le jeu social

S’il y a bien une chose que les zèbres ont du mal à faire, c’est comprendre et accepter les règles du jeu social. Quelle que soit la culture concernée, ces interactions sont régies par des codes aussi subtils que complexes qui comportent souvent une dose non-négligeable d’hypocrisie.

La nature entière et franche des HPI les rend particulièrement hermétiques à ces pratiques. Ils sont plutôt du genre à aller droit au but sans forcément prendre de gants. Jouer le jeu en société est pour eux une contrainte qui leur pèse. Si l’on vous décrit volontiers comme une sorte de sauvage, ou d’ermite vous faites sans doute partie du camp des 3 % de personnes qui possèdent un potentiel supérieur.

11- Vous êtes proche des animaux et de la nature

Les hauts potentiels sont souvent de grands amoureux des animaux et de la nature. Cette compagnie est en accord avec leur sensibilité particulière. Il n’est donc pas rare qu’ils partagent leur vie avec un chien, ou exercent une profession qui leur permet d’être au grand air.

Le fait d’être un fervent défenseur de la cause animale et d’aimer vous échapper en forêt dès que vous en avez l’occasion ne suffit pas à vous identifier comme un zèbre. Néanmoins, associé à d’autres signes que vous êtes un haut potentiel cela peut être un bon révélateur.

12- Vous repérez facilement les autres personnes à haut potentiel

Le dernier signe que vous êtes un haut potentiel est une facilité à reconnaître les autres zèbres lorsque vous les rencontrez. La plupart des sur efficients sont équipés d’une sorte de radar interne qui se déclenchent lorsqu’elles rencontrent quelqu’un dans la même situation.

Ces rencontres sont souvent de véritables bouffées d’oxygène, car elles leur permettent d’être avec une personne qui les comprend profondément, puisqu’elle traverse les mêmes choses. Certains font le choix de se regrouper dans des associations comme Mensa. Cette association, fondée en 1946, regroupe des HPI de toutes nationalités.

Vous l’aurez compris, le potentiel ne se mesure pas seulement avec un test de QI. Même si vous n’êtes pas passé par la case évaluation chez le psy, il existe des signes que vous êtes un haut potentiel qui ne trompent pas.

S’ils ne veulent pas dire grand-chose pris isolément, une personne qui se retrouve dans la moitié de cette liste, ou plus, est vraisemblablement un zèbre. À vous de savoir ensuite si vous souhaitez passer des tests comme celui de la Mensa pour en avoir le cœur net.

Comment se libérer du regard des autres ?

mai 4, 2021 par Sylvain Wealth Laisser un commentaire

se-liberer-du-regard-des-autres Même si nous prétendons souvent le contraire, le jugement d’autrui a une influence indéniable sur nos actes.

Nombreux sont celles et ceux qui n’osent pas s’écarter du chemin pour suivre leur route à cause de cette pression.

Heureusement, il est possible d’apprendre à se libérer du regard des autres grâce à deux clés très simples.

Vous avez envie de vous sentir enfin libre ? Voici tout ce que vous devez savoir !

Le regard des autres : une entrave à l’épanouissement

La dépendance au regard des autres est l’une des plus grandes entraves à l’épanouissement de chacun. Nous connaissons tous des personnes qui font tout leur possible pour mener une vie qui correspond au modèle de réussite dicté par leurs parents, ou la société.

Elles suivent des études qui ne leur plaisent pas pour avoir l’assurance d’un job bien payé. Une fois ce sésame obtenu, elles travaillent dur, se marient et achètent une maison. Le problème, c’est qu’au fond d’elles, elles ont envie d’autre chose. Elles ont des rêves, des projets, des envies, mais n’osent pas s’écarter de la route pour suivre leur propre voie.

Si vous lisez cet article, c’est que vous vous reconnaissez au moins en partie dans cette description.

Attacher de l’importance à l’opinion d’autrui nous a été inculqué dès notre plus jeune âge. C’est la principale raison pour laquelle il est très difficile de se libérer du regard des autres. Mais pour être un être complet et épanoui, c’est une épreuve nécessaire. Si ce travail peut sembler long et difficile, il l’est en réalité moins que votre peur de l’entamer vous laisse penser.

Dans cet article, nous allons parler d’une méthode simple pour ne plus laisser le jugement des autres empoisonner votre vie. La clé de votre liberté est là, juste devant vous. Encore faut-il savoir où regarder.

Comprendre l’origine du problème

La première chose à faire pour se libérer du regard des autres et entamer votre travail de développement personnel, c’est de comprendre la raison pour laquelle il vous touche autant. En général, cette situation prend sa source dans une des deux grandes peurs que notre éducation cultive.

Il est bien sûr possible d’en cumuler plusieurs. En mettant votre peur en pleine lumière, vous faites le pas le plus important pour la voir disparaître.

La peur de ne pas trouver sa place

La première raison qui rend le jugement des autres difficile à supporter, c’est la peur de ne pas trouver sa place au sein du groupe auquel on s’identifie. Le besoin d’appartenance est très fort chez l’être humain et s’en détacher n’est pas chose aisée.

Depuis que nous sommes nés, nous devons faire des efforts pour faire honneur à notre famille, à notre école, à notre groupe d’amis, à notre entreprise, à notre classe sociale. S’entendre dire que l’on n’est plus digne de siéger parmi les nôtres peut être très violent.

Mais il est nécessaire de remettre les choses en perspectives. Toutes ces loyautés, auxquelles nous nous obligeons à croire, ne sont que des constructions sociales que nous avons le choix de suivre, ou pas. Si vos projets vous mettent à l’écart de vos proches, il existe d’autres personnes qui partagent les mêmes objectifs et avec qui vous pourrez créer de nouveaux liens.

La seule reconnaissance que vous devez rechercher à tout prix, c’est la vôtre, car c’est la seule qui dure toute votre vie. Quels que soient les gens qui vous entourent, vous serez toujours heureux si vous apprenez à être fier de vous-même.

La peur de ne pas être aimé

Nos parents, dont l’amour est pourtant censé être inconditionnel grâce au miracle de la vie, nous ont bien souvent appris qu’être aimé est une chose qui se mérite. Ils l’ont fait avec les meilleures intentions du monde, en espérant faire de nous des adultes accomplis.

Très vite, nous avons appris à faire telle ou telle chose pour que maman soit heureuse, ou que papa soit content. Et quand nous les décevions, nous avions le sentiment de moins compter à leurs yeux. Arrivés à l’âge adulte, nous conservons ce sentiment avec nos amis, puis avec notre partenaire. Et nous acceptons de renoncer à ce que nous sommes pour ne pas perdre cet amour si précieux.

Si c’est pour cette raison que vous n’arrivez pas à prendre votre envol, vous allez devoir apprendre à vous aimer avant tout. Parce qu’une fois que vous serez capable de vous donner tout l’amour que vous méritez, vous n’aurez plus jamais peur de perdre celui des autres.

Au contraire, vous serez rayonnant, épanoui, et vous vous apercevrez que vous attirez des gens qui vous aiment vraiment, quels que soient vos choix de vie.

Apprendre à s’aimer

Maintenant que vous connaissez la source de votre peur, il est temps de passer à l’étape suivante pour se libérer du regard des autres : apprendre à vous aimer. Tant que vous passerez votre temps à essayer de vous comparer à eux, à pointer le moindre de vos défauts et à vous dévaloriser les choses ne changeront pas. Vous resterez prisonnier de la course effrénée pour avoir l’estime de ceux qui vous entourent.

Pour briser vos chaînes, il est indispensable d’apprendre à vous aimer tel que vous êtes. Les gens qui comptent pour vous ont forcément des défauts, petits ou grands. Pourtant, cela n’enlève rien à l’affection que vous leur portez. Au contraire, vous trouvez même sans doute que ces imperfections font partie intégrante de leur charme, car elles les rendent uniques.

Figurez-vous qu’il en est de même pour vous. Ce que vous considérez comme des failles à corriger fait toute votre personnalité. Vous êtes un être singulier qui possède du talent et des capacités. Ce mélange entre vos aptitudes, vos qualités humaines et vos défauts est le fondement même de ce que vous êtes. Et vous méritez d’être considéré avec tout l’amour du monde.

Prenez une feuille blanche et faites la liste de vos réussites. Pas forcément du point de vue de la société, mais du vôtre. Écrivez toutes les actions qui vous ont rendu fier au cours de votre vie, qu’elles soient petites ou grandes. À chaque nouvelle ligne, prenez le temps de vous remémorer le souvenir dans les détails. Imprégnez-vous pleinement de ce que vous avez ressenti à ce moment-là.

Continuez, en notant ce que vous aimez chez vous, vos qualités. Cherchez bien, il y a forcément une chose que vous appréciez, ou pour laquelle vous pensez être doué. Enfin, listez ce que votre entourage aime chez vous.

Les compliments que l’on vous fait, les témoignages de gratitudes que l’on vous donne. Tout cela constitue l’une des preuves que vous avez de la valeur. Gardez précieusement ces listes à portée de main et relisez-les chaque fois que vous commencez à sentir votre amour-propre faiblir.

Devenez à la fois votre parent et votre meilleur ami. Apprenez à être protecteur et bienveillant envers vous-même. Vous devez trouver dans votre propre cœur tout l’amour dont vous avez besoin. Une fois que vous l’aurez trouvé, le regard des autres n’aura plus d’importance pour vous. Vous vous sentirez libre de suivre votre propre voie, parce que vous aurez la certitude d’être aimé quoi qu’il arrive et le désir d’être encore plus fier de votre parcours.

Remettre les autres à leur place

Malgré ce que ce titre pourrait laisser penser, il ne s’agit pas d’entrer en conflit avec ceux qui vous entourent, mais de les remettre à leur place au sens premier du terme. C’est-à-dire de les faire descendre du piédestal sur lequel vous les avez hissés.

Nous avons tous tendance à idéaliser nos proches. Nous voyons nos parents comme des modèles de vertus. Nous sommes persuadés que nos amis et nos collègues de travail ont une vie trépidante dans laquelle ils enchaînent les succès et nous sommes persuadés que notre patron n’a jamais de soucis.

Bien évidemment, tout cela est faux. Totalement faux. Les autres sont exactement comme nous. Ils ont des peurs, des doutes, un passé qu’ils trimbalent avec eux. Ils connaissent des échecs et des déceptions. Ils sont passés par les mêmes crises et les mêmes moments de doute. Même l’homme le plus puissant du monde tombe malade, doute de lui par moments et peut vivre des choses difficiles.

Cessez donc d’idéaliser vos semblables. Ils ne sont ni mieux, ni moins bien que vous. Considérez-les sur un pied d’égalité, même lorsque la hiérarchie sociale les place au-dessus de vous. Souvenez-vous que même votre patron a le nez qui coule en hiver. Il n’y a donc aucune raison de vous sentir intimidé, ou influencé, par le regard de gens qui sont comme vous.

S’autoriser à être heureux

Pour se libérer du regard des autres, il faut s’autoriser à être heureux. Souvent, nous nous interdisons d’accéder au bonheur, parce que nous sommes intimement convaincus que nous ne le méritons pas. Nous attendons que ce soient les autres qui nous y autorisent. Ce qu’ils ne peuvent bien sûr pas faire, puisqu’ils ignorent tout de notre attente.

Une fois que vous aurez franchi l’étape précédente, vous serez prêt à abandonner cette attente, car vous comprendrez que c’est vous qui devez déverrouiller la porte de votre épanouissement. Quand on aime quelqu’un, on a envie de voir cette personne heureuse et on se moque de ce que les autres en pensent.

Si vous devenez votre meilleur ami, vous vous offrirez tout naturellement le droit au bonheur. Une fois ce palier franchi, vous deviendrez bien plus productif dans la réalisation de vos projets, puisque vous partirez avec le désir sincère de réussir.

Prendre la responsabilité de sa vie

Parfois, nous utilisons le regard des autres comme excuse pour masquer notre peur de prendre la responsabilité de notre propre vie. S’empêcher de vivre ses rêves par peur du rejet et de la désapprobation est une posture assez confortable pour le cerveau, car elle évite de mettre à jour la véritable angoisse : celle de l’échec.

De cette manière, il est possible d’accuser les autres de ce qui ne va pas sans jamais se remettre en question. C’est ce qui se passe à chaque fois que nous disons : « J’aimerais tellement faire cela, mais mes parents ne l’accepteront jamais ! » , ou « Je voudrais bien changer de vie, mais tout le monde dit qu’à 40 ans on est trop vieux pour ça ! ».

La plupart du temps, ce mécanisme est totalement inconscient. Il n’est donc pas question de dire que vous êtes un lâche si vous avez peur du regard des autres, ou que vous méritez la vie que vous menez. Le cerveau humain est programmé pour chercher le maximum de satisfaction en fournissant le minimum d’efforts.

Pour vous protéger, il vous pousse à abandonner la responsabilité de choisir votre destin sans que vous vous en rendiez compte. Mais ce n’est pas une fatalité. Vous pouvez reprendre les rênes !

La seule chose que vous avez à faire, c’est de prendre en pleine conscience la résolution qu’à partir de ce jour vous êtes pleinement responsable de votre vie. Il ne s’agit pas simplement de le faire avec la tête, mais d’y mettre tout votre cœur.

Vous devez ressentir tout le poids que cette responsabilité implique et l’accepter en pleine conscience. Ainsi, vous n’aurez plus besoin de vous cacher derrière ce que pensent les autres, puisque vous serez le seul maître du jeu.

Se lancer des défis pour se libérer du regard des autres

Pour apprendre efficacement à se libérer du regard des autres, il est important d’y aller en douceur, étape par étape. Pour être durable, un changement doit se faire progressivement. L’idéal est de vous lancer des défis au quotidien. Commencez par identifier toutes les situations où le regard des autres vous pèse. Classez-les ensuite de la plus simple à appréhender à celle qui génère le plus de stress.

Lancez-vous le défi suivant : affronter au moins 2 fois cette semaine, la situation la moins compliquée à gérer de votre liste. Si vous y parvenez, récompensez-vous. Dans le cas contraire, félicitez-vous d’avoir essayé et faites en sorte de mettre le doigt sur la raison pour laquelle les choses ne se sont pas passées comme prévu.

Répétez l’opération jusqu’à ce que le regard des autres dans ce moment précis vous soit devenu indifférent. Passez ensuite à l’item suivant de la liste et ainsi de suite. Prenez votre temps et vous serez surpris du résultat.

Le poids du regard des autres est inscrit dans notre éducation et fait appel à nos peurs les plus profondes. Pour vous en détacher, la clé est de reprendre la responsabilité de votre vie, tout en vous considérant avec amour et bienveillance.

La seule considération qui vaille la peine que vous fassiez des efforts pour l’obtenir, c’est la vôtre. Si vous vous aimez, vous n’aurez plus peur de manquer d’amour et l’opinion des autres deviendra secondaire. Faites chaque jour un pas de plus vers votre indépendance et profitez enfin de la vie que vous méritez !

Comment changer de vie : les principes essentiels à connaître

janvier 28, 2021 par Sylvain Wealth Laisser un commentaire

comment-changer-de-vie De nombreuses personnes arrivent à un tournant de leur existence où elles souhaitent changer de vie.

Repartir de zéro pour bâtir le projet de ses rêves est une formidable aventure à plus d’un titre et l’une des expériences les plus riches d’enseignements qui soit.

Cependant, pour réussir au mieux, il est important de suivre la bonne méthode, sous peine de perdre un temps et une énergie précieux.

Vous avez décidé de changer de vie ?

Nous vous dévoilons les principes essentiels à connaître pour réaliser enfin vos désirs et vous rêves les plus fous !

Prendre conscience que vous êtes la clé du changement

Le premier point incontournable pour réussir à changer de vie est de comprendre, et d’accepter, le fait que vous êtes le seul et unique artisan de ce changement. Personne ne peut prendre la décision ou passer à l’action à votre place. Bien sûr, cela ne veut pas dire que vous devez tout faire sans aide ! Mais vous ne devez pas faire reposer tout votre projet sur une providentielle intervention extérieure. Les meilleurs conseillés et les amis les plus dévoués ne pourront rien pour vous si vous ne vous prenez pas en main.

Ne comptez pas non plus sur la chance ou sur le hasard. Chacun est maître de son destin et aucune force supérieure n’est à incriminer si la vie que vous menez aujourd’hui ne vous convient pas. Vous avez un rêve, une envie, un objectif qui vous tient à cœur et vous êtes déterminé à le réaliser ? Alors n’attendez plus et provoquez les choses ! Pour changer sa vie, vous devez avoir le courage de vos envies. Le pouvoir d’agir et la clé du succès sont entre vos mains.

Définir ce que vous voulez vraiment changer

Changer de vie est un concept qui n’a pas la même signification pour chacun d’entre nous. Pour certains, c’est synonyme de changement radical dans tous les domaines. Pour d’autres, il s’agit simplement de changer de voie professionnelle ou de situation financière.
Consiste donc à définir clairement ce que vous souhaitez changer dans votre vie et les raisons de ce désir. Ainsi, vous saurez précisément quelle direction prendre et vous pourrez prévoir les moyens à mettre en place pour atteindre votre but.

Cette étape peut prendre un certain temps, car elle nécessite un réel travail d’introspection. Ne la négligez pas, sans quoi, vous risquez de mal cerner vos réels désirs et de perdre du temps à chercher dans la mauvaise direction.Écrivez en détail tout ce qui vous vient en tête. Coucher vos idées sur papier est un excellent moyen d’y voir plus clair. Une fois votre liste dressée, réfléchissez-y quelque temps, puis relisez la afin de vérifier qu’elle correspond toujours à vos souhaits et que rien n’y manque.

Vous fixer des objectifs ambitieux, mais réalistes

Maintenant que vous savez ce que vous voulez dans les grandes lignes, il est temps de transformer vos souhaits en objectifs concrets. Il existe plusieurs types d’objectifs. Les objectifs à long terme (dans les 5 ou 10 prochaines années, par exemple), sont ceux sur lesquels vous pouvez être le plus ambitieux.

N’ayez pas peur de voir grand, si c’est ce que vous souhaitez. Toutefois, veillez à rester réaliste, sous peine de vous mettre vous-même en situation d’échec et de vous démotiver. Par exemple, si vous gagnez le SMIC et n’avez ni projet d’entreprise, ni talent particulier à vendre, être millionnaire dans 5 ans n’est peut-être pas le but à atteindre le plus adapté pour vous.

Les objectifs à moyen et courts termes (à l’échelle de l’année ou du mois) sont des paliers intermédiaires qui doivent concourir à l’atteinte de votre objectif à long terme. Vous devez donc les fixer en cohérence par rapport à lui. Chaque réalisation est une petite victoire qui vous confortera dans votre volonté de changer de vie et vous donnera d’autant plus confiance en vous.

Établir un plan d’action concret

Vous avez défini le projet de vos rêves et tracé votre itinéraire. Félicitations, vous avez déjà accompli une part importante du travail ! Cependant, il ne suffit pas de savoir ce que vous voulez pour réussir. Il s’agit à présent de se pencher sur la meilleure façon de l’obtenir. Tel est le but du plan d’action. Il s’agit de la liste des actions à réaliser et des moyens à employer. Il vous tiendra lieu de feuille de route pour vous orienter sur le chemin de votre nouvelle vie.

Pour chacun de vos objectifs, faites la liste de ce dont vous avez besoin (nouvelles compétences, financement, etc.) et déterminez la façon dont vous allez vous y prendre. Vous pouvez vous faire aider de spécialistes dans les domaines concernés, qui vous aideront à trouver les solutions les plus efficaces, en particulier si vous avez besoin d’entamer une formation et d’obtenir des aides pour cela. Changer de vie, c’est aussi savoir s’entourer des meilleures personnes pour débloquer des situations et faire avancer les choses efficacement.

Faire le premier pas et passer à l’action

Le projet le mieux préparé n’a de valeur que si vous faites le premier pas et que vous osez vous lancer. Une fois les phases précédentes achevées, il est donc temps de passer à l’action. Comme nous l’avons mentionné au début de cet article, vous et vous seul pouvez prendre la décision. Le plus dur, finalement, c’est d’oser se jeter à l’eau. Une fois que c’est fait, la suite vient naturellement.
Fuyez les fausses excuses et la procrastination.

Si vous remettez le moment d’agir au lendemain une seule fois, cela deviendra une façon d’agir et vous ne ferez jamais rien. De même, ne vous laissez pas paralyser par un excès de perfectionnisme. Si vous attendez le moment parfait pour vous lancer, vous attendrez toute votre vie. Il y aura toujours quelque chose qui pourrait être amélioré dans votre plan. Mais ce n’est pas grave, les ajustements se feront en cours de route. Alors, respirez un grand coup et lancez la machine !

Apprendre à canaliser vos peurs

Nous sommes des êtres d’habitudes et notre esprit apprécie le confort procuré par la répétition. Ce comportement est inscrit dans notre nature. Conséquence : le changement nous fait peur. Même si votre désir d’améliorer votre vie est fort et sincère, vous traverserez forcément des phases de doutes et de peur plus ou moins intense. Rassurez-vous, c’est on ne peut plus normal. Le courage n’est pas l’absence de peur, mais l’art de la canaliser.

Au lieu d’ignorer vos peurs, prenez le temps de les regarder en face et de les étudier. Identifiez ce qui vous inquiète particulièrement, et réfléchissez à l’origine profonde de votre anxiété. Car, bien souvent, les origines de notre réticence au changement sont plus profondes qu’on ne le pense et les analyser permet de trouver des solutions pour l’apaiser durablement.

Le meilleur remède face à la peur, c’est la raison. Rationalisez donc les choses autant que possible, afin d’éliminer les angoisses purement imaginaires. Entourez-vous de gens positifs qui sauront trouver les mots pour vous conforter dans vos projets et évitez les pessimistes patentés qui ont l’art de prédire des catastrophes à tout bout de champ, parce qu’eux-mêmes n’osent pas agir.

Accepter les ratés sans vous décourager

L’échec, ce n’est pas lorsqu’une tentative ne produit pas le résultat escompté, mais l’absence de tentative. Essayer, c’est déjà réussir, car, soit vous obtenez ce que vous voulez du premier coup, soit vous avez l’opportunité d’en tirer une leçon qui vous permettra de l’avoir la fois suivante. Il est fort probable que tout ne se déroule pas exactement comme vous l’aviez prévu au départ. Et c’est normal.

Changer de vie, c’est accepter qu’il y ait parfois des ratés sans renoncer pour autant. Vous n’avez pas réussi à accomplir une tâche ? Analysez les raisons de cette situation et tirez-en les enseignements nécessaires pour ne plus reproduire les mêmes erreurs.

L’échec est bien plus formateur que la réussite, car on retient plus durablement ce qu’il nous apprend. Maintenant vos efforts dans le temps, essayez encore et encore sans jamais vous décourager. Un grand succès est presque toujours précédé d’une série de petits échecs. Gardez toujours ce principe à l’esprit et votre ténacité sera récompensée.

Changer de vie est parfaitement réalisable pour quiconque en éprouve sincèrement le désir, à condition de respecter certains principes essentiels et de ne pas chercher à brûler les étapes. Avant toute chose, vous devez vous sentir pleinement acteur de votre existence et placer votre réussite entre vos seules mains. Ensuite, définissez votre projet.

Pour cela, verbalisez ce que ce changement de vie signifie concrètement pour vous, fixez-vous des objectifs et établissez un plan d’action pour les atteindre. Il ne vous reste plus qu’à prendre votre courage à deux mains pour vous lancer ! Gardez en tête qu’un échec n’est jamais absolu et qu’ils sont la condition sine qua non du succès. Cela vous aidera à canaliser vos peurs. Vous avez maintenant toutes les cartes en main pour faire de vos rêves votre réalité !